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Titre : 22 Prêtres Vaccinés, 21 tombent malades, puis 4 morts !
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22 Prêtres Vaccinés, 21 tombent malades, puis 4 morts !

21 des 22 prêtres récemment vaccinés dans une maison de retraite religieuse de Vendée sont positifs au Covid et déjà 4 sont morts ! 

 Par Jeanne Smits, correspondante à Paris pour LifeSite

Chavagnes-en-Paillers (en Vendée à 40 km au Sud-Est de Nantes), France, 20 mai 2021 (LifeSiteNews) - 

Sur un total de 22 prêtres récemment vaccinés dans la maison de retraite d'une communauté missionnaire en France, 21 ont été infectés par le COVID, et quatre d'entre eux sont morts à dix jours d'intervalle entre la fin avril et les premiers jours de mai. 

Deux autres seraient encore dans un état critique. 
La presse ne s'est pas fait l'écho de cette situation en France. 
Les événements se sont déroulés dans la petite ville de Chavagnes-en-Paillers, en Vendée, sur la côte ouest de la France, dans un foyer religieux local, et ont été confirmés dans les avis de décès locaux. 

Leurs décès ont eu lieu entre le 28 avril et le 8 mai. 
Avant cette série inhabituelle de décès sur une courte période, 23 prêtres âgés, français et étrangers, vivaient en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation, recevant une certaine aide d'employés non religieux du voisinage. 
Depuis le début de la crise du COVID-19 en mars 2020, compte tenu de l'âge avancé et des comorbidités de la majorité des résidents, la communauté a fait très attention à suivre tous les ordres et recommandations du gouvernement et ne s'est que rarement, voire jamais, aventurée hors de son enceinte, selon les observateurs locaux. 

Les prêtres âgés ne recevaient pas non plus de visiteurs. 
Aucun n'avait été infecté par le SRAS-CoV-2 depuis le début de la pandémie, à l'exception de l'un des prêtres qui avait été amené à sortir pour rendre visite à diverses occasions : Il a été testé positif au début de cette année et, bien qu'il ne soit pas tombé malade, a scrupuleusement observé les mesures d'isolement à son retour. 

Aucun autre "cas" n'est survenu parmi ses frères prêtres à cette époque.
En avril dernier, au plus tôt le 14 avril et au plus tard le 21 avril, tous les prêtres, à l'exception de celui qui avait été infecté, ont reçu l'un des vaccins expérimentaux COVID, contaminés par l'avortement.
Immédiatement après, une vague de COVID a frappé les prêtres vaccinés. 

Le prêtre non vacciné est resté négatif. 

Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, dont six gravement, et quatre sont morts dans les deux semaines à trois semaines et demie après avoir été vaccinés. 

Les personnes décédées étaient toutes âgées de plus de 80 ans, voire de 90 ans, et souffraient de graves problèmes de santé. 
Sont-ils morts "à cause" du vaccin expérimental ? 

Ont-ils été infectés "à cause" de leur récente vaccination ? 

Ou encore, peut-on dire que la vaccination elle-même a provoqué l'apparition du COVID ? 
Il n'est pas possible de répondre facilement et avec certitude à aucune de ces questions, mais la concomitance des vaccinations, des infections et du taux de mortalité élevé est un fait - et un fait troublant. 

On pourrait s'attendre à ce que des études et des enquêtes soient menées sur la chronologie, les éventuels effets indésirables des vaccins et la vulnérabilité éventuelle au COVID des personnes récemment vaccinées. 
Après tout, le ministre français de la santé, Olivier Véran, a lui-même déclaré dans un document écrit adressé à la plus haute juridiction administrative, le Conseil d'État, qu'un retraité récemment vacciné qui souhaitait être exempté des restrictions liées au COVID devait continuer à porter un masque et à observer une distance sociale, ainsi qu'à rester dans un rayon de 10 km autour de son domicile et à respecter le couvre-feu de 18 heures en vigueur dans la ville. 

En effet, "les personnes vaccinées sont aussi les plus exposées aux formes graves et au décès en cas d'inefficacité initiale du vaccin, de réinfection post-vaccinale ou de variante de virulence." 
En d'autres termes, dans la période qui suit immédiatement la vaccination, le risque d'être infecté et de développer une forme sévère, voire mortelle, de COVID est plus élevé que sans le "vaccin"." 
Mais pour autant que l'on sache, aucune autopsie n'a eu lieu, ce qui est probablement une bénédiction pour les prêtres décédés, qui de toute façon sont morts à un âge avancé, et surtout pour leurs frères prêtres et leurs proches. 

Mais le silence médiatique complet autour de ces événements remarquables est pour le moins particulier, et une forme de peur de s'exprimer est palpable à une époque où la simple remise en cause de l'efficacité et de la sécurité des vaccins COVID-19 est en soi perçue comme une forme de "complotisme", comme on dit en France : l'adhésion aux théories du complot. 
Mais lorsque quatre décès suivent de près un total de 22 vaccinations, des procédures de pharmacovigilance semblent nécessaires. 
Dans le cas de la communauté religieuse de Chavagnes, des citoyens locaux ont déclaré à LifeSite que l'un des employés avait très récemment été testé positif au COVID avant que les vaccinations n'aient lieu. 
Cela soulève des questions. Les prêtres avaient-ils tous été infectés très récemment avant d'être vaccinés, et cela a-t-il entraîné une réaction plus violente que celle qu'ils auraient eue sans le vaccin ? 
Le fait que le seul prêtre qui n'a pas été vacciné ne soit pas tombé malade est également remarquable. 

Cela ne permet toutefois pas d'établir un lien entre le vaccin et la maladie, car on sait qu'il avait déjà eu une infection il y a plusieurs mois, ce qui l'a probablement protégé de la vague de COVID d'avril par le biais d'une immunité naturellement acquise. 

En tout état de cause, la contamination par le COVID s'est avérée moins risquée pour lui que pour les autres membres de sa communauté. 
D'autres bizarreries apparaissent. Alors que l'âge et l'état de santé des résidents expliquent que le COVID serait susceptible de les frapper plus durement que la plupart, LifeSite comprend qu'au moins un des décès a été officiellement attribué à un arrêt cardiaque, sans que le statut positif au COVID de la personne décédée soit noté. 

Avant l'arrivée du "vaccin", tous les patients positifs au COVID qui décédaient, même ceux dont l'état de santé sous-jacent était très mauvais, étaient appelés des victimes du COVID. 

Avec le vaccin, voici le cas d'un patient COVID dont la positivité n'intéresse apparemment plus les autorités sanitaires. 

Au contraire ! 
Une fois encore, cela a pu être une bénédiction pour sa communauté et ses proches. 

En France, un certificat de décès COVID implique de sévères restrictions quant aux visites de la dépouille mortelle qui est placée dans un sac mortuaire en plastique sans les soins et les honneurs habituels, et le cercueil du défunt est rapidement fermé sur le lieu du décès. 
Mais cela met en évidence la manière dont les statistiques COVID peuvent être manipulées. 
La vague de maladies graves et de décès qui a frappé cette communauté âgée n'a pas fait les gros titres, même dans la presse locale, et n'a pas donné lieu - à la connaissance de LifeSite - à une enquête médicale. 

S'il y avait une réelle inquiétude quant aux risques possibles liés au "vaccin" expérimental dans les situations décrites ci-dessus, n'auraient-ils pas été présentés comme une raison de prudence ?

Source : 
https://www.lifesitenews.com/news/21-of-22-recently-vaccinated-priests-in-french-retirement-home-test-positive-for-covid

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