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Titre : Procès de Hunter Biden Jour 1 : Les Financements Chinois !
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Procès de Hunter Biden Jour 1 : Les Financements Chinois !

Procès de Hunter Biden le lundi 4 octobre devant le Tribunal Militaire de Guantanamo au sujet des Financements Électoraux Chinois ! 

Bien que l'armée ait de nombreuses raisons d'accuser Hunter Biden, le contre-amiral Darse E. Crandall, qui représente l'accusation, a déclaré au début du procès du lundi 4 octobre 2021 qu'il ne se concentrerait que sur les charges les plus flagrantes et ignorerait les crimes moins graves afin d'éviter de faire traîner le tribunal et de faire perdre du temps à l'armée. 

Il a déclaré au jury de trois officiers qu'il était confiant dans la capacité du JAG à condamner Biden pour les accusations de trahison et de conspiration, de viol et de crimes sexuels sur des enfants. 

Bien que confronté à une affaire capitale et à une potentielle condamnation à mort, Biden, menotté aux poignets, est entré en fanfare dans la salle d'audience sud de GITMO et a fait un sourire artificiel aux officiers chargés d'examiner les arguments de l'armée contre lui. 

Son sourire était artificiel parce que des années de consommation chronique de drogues - crack-cocaïne et méthamphétamine - avaient fait pourrir ses dents naturelles jusqu'à la mâchoire. 

Hunter Biden, un avocat, avait refusé de se faire assister par un conseil extérieur pour se représenter lui-même. 

"Ce procès est un cirque", a déclaré Biden dans sa déclaration d'ouverture, "et je suis innocent de toutes les accusations. 

Oui, j'ai pris quelques mauvaises décisions dans ma vie - mais ces décisions m'ont affecté et seulement moi. 

Il n'y a aucune preuve, absolument aucune, que j'ai commis des crimes dans ou contre les États-Unis d'Amérique. 

Je suis le Premier Fils, et mon père veillera à ce que cette commission soit poursuivie pour ses crimes contre des citoyens américains respectueux des lois, comme moi.

Le contre-amiral Crandall a présenté comme preuve un ordinateur portable ayant appartenu à Hunter Biden, l'appelant "l'ordinateur infâme" qui a suscité une longue controverse médiatique. 

Les bases de l'histoire sont bien documentées : Le New York Post avait obtenu de l'ordinateur portable des courriels montrant que Biden avait reçu 10 millions de dollars du milliardaire chinois Ye Jianming pour être présenté au "grand", ostensiblement Joseph Biden. 

Un ancien partenaire commercial de Hunter Biden, Tony Bobulinski, a par la suite confirmé ces allégations, affirmant que les Biden ont commencé à recevoir d'importants versements chinois dès juin 2017. 

Le paiement de 10 millions de dollars n'était que le début, a déclaré le contre-amiral Crandall au tribunal, car Hunter avait reçu de nombreux paiements de plusieurs milliardaires chinois influents ayant des liens avec le Parti Communiste Chinois (RPC) et le ministère d'État de cette nation - la version chinoise de la CIA. 

Il a posé sur la table de la défense un deuxième ordinateur portable et un iPad que les militaires avaient saisis lors d'une descente dans la propriété de Hunter Biden à Venice, en Californie. 

Ils contenaient eux aussi d'innombrables courriels et dossiers financiers prouvant que Biden avait reçu environ 250 millions de dollars de versements chinois entre 2017 et le moment de son arrestation. 

"Soixante-quinze millions de dollars en 15 versements de Chen Dongsheng à la condition que 35 % soient consacrés à diaboliser Donald J. Trump et à prendre "toute mesure nécessaire" pour empêcher sa réélection en 2020".  

Dans un courriel de réponse du 19 janvier 2019, Hunter a répondu : 

"Vous n'avez pas besoin de vous inquiéter de Trump. 

Vous n'avez pas à vous inquiéter de Trump du tout. 

L'argent est bien dépensé. 

Trump ne sera pas président du tout s'il se représente."

"On sait qu'il n'a pas voulu parler lors de sa première déposition. 

Peut-être qu'il va parler maintenant. 

Hunter, avez-vous collecté cet argent au nom de ce cher vieux papa ? 

Est-ce qu'il t'a forcé ?"

Hunter est resté silencieux !  

Le contre-amiral Crandall a alors fait remarquer que Chen Dongsheng n'était pas un citoyen chinois ordinaire. 

Pas un milliardaire ordinaire.

"Nous savons que Dongsheng est un agent du Parti Communiste Chinois (RPC), et j'ai du mal à croire que les Biden ne le savaient pas", a déclaré le contre-amiral Crandall. 

"Les documents sur ses appareils montrent qu'il a été au courant de toutes les transactions et de tous les renseignements de son père pendant plus de 12 ans. 

Hunter était l'homme de pointe d'une opération visant à solliciter des fonds auprès d'acteurs étrangers qui avaient tout à gagner d'une présidence Biden et tout à perdre si Trump était réélu. 

Ce n'était pas une campagne de collecte de fonds, c'était une haute trahison." 

En tout, il a montré au tribunal 250 courriels et 645 pièces de documentation financière détaillant les relations de Biden avec des personnages de l'ombre issus des entrailles des agences de sécurité et de secret de la nation communiste.

Biden a objecté : "Rien de tout cela ne prouve quoi que ce soit. 

Ces appareils ne sont pas à moi. 

Je ne les ai jamais possédés. Je ne les ai jamais vus. 

Les militaires les ont inventés pour me piéger."

"J'attendais mieux d'un avocat. 

J'assure à la commission que ces objets ont été authentifiés numériquement comme appartenant à Hunter Biden. 

Et il ne s'est pas soucié d'y laisser ses empreintes digitales. 

Leur propriété est indiscutable."

Après une autre série d'objections hors sujet, le contre-amiral Crandall a suspendu la séance jusqu'à mardi 5 octobre 2021 au matin.

Par Michael Baxter le 6 octobre 2021 : 
https://realrawnews.com/2021/10/hunter-biden-military-tribunal-day-i/

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