Titre : Le CO2 humain minime par rapport au CO2 de la Nature !
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Le CO2 humain minime par rapport au CO2 de la Nature !
Le CO2 produit par l'Homme serait que de 3% dans le cycle naturel du Carbone, et donc changer ce cycle naturel est pratiquement impossible !

Filibert : Le principal gaz à effet de serre dans l'atmosphère est la vapeur d'eau, alors que les partisans de la lutte contre le "Réchauffement Climatique" ne nous parlent que du gaz carbonique !
Et en plus le gaz carbonique émis par l'homme n'est qu'une toute petite partie du cycle du carbone !
De plus le réchauffement actuel est bien inférieur à celui du Moyen-Âge qui permis à la civilisation européenne de prospérer et d'avoir les moyens de construire de nombreuses cathédrales et d'ouvrages qui permirent à la population une certaine prospérité !
Au Moyen-Âge il y avait moins de carbone dans l'atmosphère (autour de 280 ppm) qu'aujourd'hui (430 ppm) et pourtant il faisait au moins 2°C de plus, donc accuser le CO2 de tous les maux est une imposture scientifique !
Donc il y a d'autres facteurs, comme l'intensité du soleil ou le dégazage des océans avec un retard de 900 ans par rapport au réchauffement du Moyen-Âge (l'eau chaude contient moins de gaz dissous que l'eau froide, ce qui explique que les truites cherchent l'eau froide car il y a plus d'oxygène dissoute) !
Eh oui, il faut 900 ans pour que la température des fonds des océans varie !
Et en plus avec de CO2 dans l'atmosphère les plantes poussent plus rapidement, car le manque de CO2 est un facture limitant à la croissance tout comme l'eau !
Un des résultats de la culpabilisation du CO2 comme élément perturbateur du climat a été l’avalanche d’études concernant le cycle du carbone sur la Terre.
Le résultat obtenu est une connaissance très fine de ce cycle qui comprend quatre compartiments : le sol, les océans, les terres émergées et l’atmosphère.
Oublions un instant la croute terrestre, elle-même le plus grand réservoir de carbone se répartissant entre les carbonates et une fraction négligeable de combustibles fossiles liquides, gazeux et solides, respectivement 100 millions de peta-grammes et seulement 10.000 peta-grammes.
Oublions un instant la croute terrestre, elle-même le plus grand réservoir de carbone se répartissant entre les carbonates et une fraction négligeable de combustibles fossiles liquides, gazeux et solides, respectivement 100 millions de peta-grammes et seulement 10.000 peta-grammes.
Le deuxième compartiment est celui des océans avec 38.000 peta-grammes.
La couche superficielle des sols émergés où se trouve la végétation et toutes les plantes représentent le troisième grand réservoir de carbone avec 2.000 peta-grammes et enfin l’atmosphère, le parent pauvre dans cette histoire mais étant pourtant l’objet de toutes les préoccupations de l’humanité ne représente qu’un infime compartiment avec péniblement 750 peta-grammes, autant que les premiers deux mètres d’eau océanique !
Toutes ces données figurent dans l’illustration ci-dessous issue d’un article de Clyde Spencer paru sur le site de Antony Watts :
Intéressons-nous maintenant aux flux entre ces divers compartiments.

Intéressons-nous maintenant aux flux entre ces divers compartiments.
Mis à part l’échange permanent au niveau des océans entre CO2 gazeux atmosphérique et CO2 dissous dans l’eau, en faveur d’une dissolution de ce gaz dans l’océan, les flux les plus importants sont d’une part la séquestration du CO2 lors des processus de photosynthèse dans les plantes et dans le phytoplancton et la respiration des sols, micro-faune, bactéries et champignons, et la respiration des végétaux.
Comme je l’ai mentionné à de multiples reprises sur ce blog la respiration des êtres humains, des animaux d’élevage et des animaux sauvages est négligeable dans ce flux.
Les processus de respiration des sols et de la couverture végétale représentent 15 fois plus que toutes les émissions de carbone provenant de l’activité humaine.
Et pourtant ces 7,7 peta-grammes comparés aux 117 peta-grammes que représentent tous les processus de respiration naturelle des plantes et des sols a focalisé toutes les attentions au plus haut niveau des décideurs politiques.
Et pourtant ces 7,7 peta-grammes comparés aux 117 peta-grammes que représentent tous les processus de respiration naturelle des plantes et des sols a focalisé toutes les attentions au plus haut niveau des décideurs politiques.
La seule séquestration par les océans du CO2 total présent dans l’atmosphère est 11 fois supérieure à toutes les émissions de ce même gaz en raison de l’activité humaine.
Voici le bilan dressé par Clyde Spencer :
C’est donc très clair : la contribution humaine dans le pool de CO2 global produit n’est que de 4%.

C’est donc très clair : la contribution humaine dans le pool de CO2 global produit n’est que de 4%.
Le souci avec cette estimation est que la production "anthropogénique" de CO2 inclut également les feux de forêt ce qui est loin d’être prouvé car il y a aussi des feux de forêt spontanés provoqués par des coups de foudre.
En excluant cette figure il ne reste plus que 3% de contribution humaine dans ce bilan.
On voudrait donc faire croire aux populations qu’il est impératif et urgent de réduire les émissions de carbone d’origine humaine de 10, 15, 20%, voire plus, pour sauver le climat mais ces diminutions au prix d’efforts économiques et sociaux insurmontables ne représenteront jamais que 0,3 ou au plus 0,6% du flux total de carbone émis sur la totalité de la planète. De tels objectifs ne sont même pas observables par les spectromètres infra-rouges d’Hawaii.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la chute de l’activité économique mondiale au cours de l’année 2020 n’a eu aucun effet sur cette teneur en CO2 de l’atmosphère.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la chute de l’activité économique mondiale au cours de l’année 2020 n’a eu aucun effet sur cette teneur en CO2 de l’atmosphère.
Le climat a-t-il réagi à ce changement ? Non.
L’exposé de Spencer prouve donc indirectement que le CO2 n’a aucun effet sur le climat, s’il était encore nécessaire d’apporter des preuves supplémentaires à ce sujet.
Pour conclure les organisations internationales qui veulent réformer le monde et le mode de vie des êtres humains se moquent de nous.
Tous leurs arguments sont adossés à des affirmations fausses.
On vit aujourd’hui dans un monde où le mensonge a remplacé la science…
Comme le disait Steve Koonin dans son ouvrage et dans ses exposés sur les plateaux télévisuels : rien n’est encore établi en ce qui concerne cette histoire de climat.
Par Jacques Henry via Réseau-International
Par Jacques Henry via Réseau-International
Source : https://jacqueshenry.wordpress.com
Voir aussi sur R-I :
Covid – Visions d’Apocalypse
Comment les fanatiques ont conquis le monde
Partagé par :
https://lesmoutonsenrages.fr/2021/06/14/de-qui-se-moque-t-on-1-le-co2/
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ainsi, les articles Le CO2 humain minime par rapport au CO2 de la Nature !
soit tous les articles Le CO2 humain minime par rapport au CO2 de la Nature ! Cette fois, nous l'espérons peut offrir des avantages à vous tous. Bon, vous voyez dans un autre article affichage.
Vous lisez maintenant l'article Le CO2 humain minime par rapport au CO2 de la Nature ! avec l'adresse du lien https://derinfos.blogspot.com/2021/06/le-co2-humain-minime-par-rapport-au-co2.html
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