Titre : Une Mère de 39 ans meurt 4 jours après le Vaccin Moderna !
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Une Mère de 39 ans meurt 4 jours après le Vaccin Moderna !
Une technicienne en chirurgie et mère de 39 ans meurt 4 jours après sa deuxième injection expérimentale de Moderna anti-Covid à ARNm !

Le 11 mars 2021 par Brian Shilhavy
Au dire de tous, Kassidi Kurill était en bonne santé, heureuse et "avait plus d'énergie" que n'importe qui autour d'elle.
Sa famille a déclaré qu'elle n'avait aucun problème de santé connu ni aucune condition préexistante."
Sa mort a été si soudaine que la plupart des membres de sa famille n'ont même pas eu la chance de lui dire au revoir.
"Quatre jours après la deuxième dose du vaccin COVID-19 administrée à Kassidi, elle était partie.
"Elle est arrivée plus tôt et a dit que son cœur battait la chamade et qu'elle sentait qu'elle devait aller aux urgences."
Alfred s'est réveillé ce jeudi matin en entendant sa fille demander de l'aide.
Kassidi et sa fille de 9 ans, Emilia, vivaient avec ses parents.
Ils formaient une famille sous le même toit depuis la naissance d'Emilia.
Maman et papa, grand-mère et grand-père étaient toujours à proximité quand on avait besoin d'eux.
Alfred, aujourd'hui retraité, passait beaucoup de temps avec ses filles.
Kassidi, dit-il, "a été malade tout de suite, une douleur à l'endroit de la piqûre, puis elle a commencé à être malade, puis elle a commencé à se plaindre qu'elle buvait beaucoup de liquides mais ne pouvait pas faire pipi, puis elle s'est sentie un peu mieux le lendemain."
C'était sa deuxième piqûre ; la première s'est accompagnée d'une douleur au bras, mais pas de véritables effets secondaires ou problèmes. Kassidi a été la première de la famille à se faire vacciner.
Elle était technicienne en chirurgie pour plusieurs chirurgiens plasticiens locaux, et le vaccin faisait partie de son travail.
Selon sa famille, elle s'est fait vacciner sans hésiter.
Kassidi a reçu la deuxième injection le lundi 1er février.
Bien qu'elle soit restée au lit toute la journée du mardi et du mercredi, ce n'est que le jeudi matin qu'elle a compris que quelque chose n'allait pas.
Elle s'est réveillée tôt, s'est préparée et a demandé à son père de la conduire aux urgences locales, où ils sont arrivés à 7 heures du matin.
Dès qu'ils ont franchi la porte, Kassidi a commencé à vomir.
Quelques minutes plus tard, on s'interrogeait sur ce qui la rendait si malade.
Son père se souvient que les médecins ont posé question après question, "Y a-t-il une explication ?"
Il a répondu en disant : "Elle venait d'avoir la piqûre, ils ont fait une analyse de sang et sont revenus immédiatement en disant qu'elle était très-très malade, et que son foie ne fonctionnait plus."
"C'était un choc total et j'avais même peur de le dire à ma femme", se souvient-il. C'était une décision qu'il ne voulait pas prendre.
Kassidi a été transporté par avion au centre médical Intermountain de Murray, un centre de traumatologie où l'on pouvait procéder à des transplantations si nécessaire.
Son foie était défaillant et une transplantation, selon les médecins, était sa meilleure chance de survie.
C'est alors que Kristin a reçu l'appel indiquant que sa sœur était transférée.
Elle a pris le premier vol pour l'Utah, mais à l'atterrissage, elle n'a pas été autorisée à entrer dans l'hôpital en raison des protocoles COVID-19.
Elle a attendu avec Emilia, la fille de Kassidi, en espérant un miracle.
Les deux parents de Kassidi se sont portés volontaires pour donner une partie de leur foie.
Ils savaient que s'ils n'étaient pas compatibles, ils pourraient faire partie d'un échange où une autre personne compatible pourrait aider leur fille.
Ils n'ont jamais eu l'occasion d'offrir ce don salvateur.
Les médecins d'Intermountain ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour que Kassidi soit stable, mais rien ne semblait fonctionner.
Selon Alfred, le foie, les reins et le cœur de sa fille se sont arrêtés.
Alfred, qui était avec sa fille lorsqu'elle est décédée, a déclaré que cela n'avait aucun sens.
Elle était en bonne santé, heureuse et active.
La meilleure maman que vous ayez jamais vue dans votre vie et puis elle était si malade qu'en moins de 12 heures elle était intubée et sous assistance respiratoire.
Elle est morte, dit-il, 30 heures après leur arrivée aux urgences."
KUTV a interviewé le Dr Erik Christensen, le médecin légiste en chef de l'Utah, qui a confirmé ce que nous avons rapporté ici à Health Impact News depuis des années maintenant, à savoir que la mort par vaccin n'est presque jamais enregistrée sur un certificat de décès, et en fait, je ne suis même pas sûr qu'elle l'ait jamais été.
Il a déclaré que la seule fois où un décès pourrait être lié à un vaccin est lorsqu'il y a une réaction d'anaphylaxie, mais même dans ce cas, l'anaphylaxie serait probablement inscrite comme la cause du décès, le vaccin étant inscrit comme la cause de la "réaction allergique"."
" Le Dr Erik Christensen, médecin légiste en chef de l'Utah, a déclaré que prouver qu'un vaccin est la cause d'un décès n'arrive presque jamais.
"Est-ce que le vaccin a causé cela ? Je pense que ce serait très difficile à démontrer lors d'une autopsie", a-t-il déclaré.
Erik ne peut penser qu'à un seul cas où vous verriez un vaccin comme cause de la mort sur un rapport d'autopsie officiel et ce serait dans un cas immédiat d'anaphylaxie.
Une personne qui a reçu le vaccin et qui est morte presque instantanément.
"Sans cela, a-t-il ajouté, il nous serait difficile de dire avec certitude que le vaccin est en cause.
Les CDC ont mis à jour hier, le 9 mars 2021, leur page intitulée Selected Adverse Events Reported after COVID-19 Vaccination (événements indésirables sélectionnés signalés après la vaccination par le COVID-19).
Ils signalent désormais 1.637 décès survenus après les injections expérimentales du COVID, signalés au VAERS.
Mais leur position sur ces décès reste la même :
"Un examen des informations cliniques disponibles, y compris les certificats de décès, l'autopsie et les dossiers médicaux, n'a révélé aucune preuve que la vaccination ait contribué aux décès des patients." (C'est eux qui soulignent - source).
Apparemment, la majorité du public américain fait confiance au CDC et croit que tous ces décès consécutifs aux injections de COVID ne sont que des coïncidences.
Même le père de Kassidi, qui a été interviewé pour cette histoire à KUTV, a déclaré qu'il a pris les devants et obtenu la deuxième dose de Moderna pour l'injection expérimentale de COVID à ARNm, en dépit du fait qu'il venait de voir sa fille mourir peu après l'avoir reçue, et que sa petite-fille souffrait maintenant sans que sa mère ne le supplie de ne pas recevoir la deuxième dose.
Source :
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