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La Biélorussie a refusé le Confinement !

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Titre : La Biélorussie a refusé le Confinement !
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La Biélorussie a refusé le Confinement !

La Biélorussie dit non à tous ces mensonges relatifs au virus et au confinement !


 
La plupart des gouvernements européens ont institué la fermeture de leurs économies, des restrictions à la liberté de mouvement et d’autres politiques connues comme le confinement. 
C’était prétendument une démarche afin de faire face à la propagation du Sars-Cov-2, un virus respiratoire originaire de Wuhan en Chine.
Très peu de pays ont refusé cette approche; la Suède est le pays dont on a le plus entendu parler. 
Cependant, un cas très intéressant concerne le contraste qui existe entre le récit officiel à l’international et la Biélorussie par le biais de son chef Aleksandr Lukashenka. (Ndlr : Il avait dit qu'on lui avait proposé pas loin d'un million d'Euros pour suivre les ordres de l'OMS, c'est à dire sans doute un confinement strict avec arrêt de l'économie, ce qu'il avait refusé, ce qui en a fait un vilain petit canard aux yeux de la pressetituée !)
Cet article décrira l’approche de Loukchenka face à la prétendue pandémie, suivi d’une analyse des chiffres des décès et de la manière dont le cas biélorusse expose les mensonges des partisans du confinement.
 
L’approche biélorusse contre le Covid-19 :
La prétendue pandémie a éclaté en Europe en mars 2020, et la plupart des gouvernements européens ont suivi la stratégie stricte consistant à imposer des confinements. 
La stratégie pour contenir le covid-19, de Loukachenka a été beaucoup souple. 
Un communiqué de presse biélorusse du 25 mars parle des quarantaines mises en place pour les personnes qui entrent en Biélorussie :
Des stations de quarantaine ont été installées à tous les lieux d’entrée dans le pays. 
Les mesures de dépistage comprennent des contrôles de température. 
Ce système de contrôle fonctionne vraiment très bien, a noté le ministre de la santé, Vladimir Karanik. 
Cela a aidé à identifier les symptômes d’une infection virale chez plus de 250 personnes, mais la majorité absolue d’entre elles avaient la grippe, la parainfluenza et l’adénovirus. 
Si une personne est testée positive au coronavirus, les agents de santé mettent leurs contacts sous surveillance médicale. 
"Une telle approche ciblée aide à freiner la propagation du virus", a déclaré le ministre. 
Loukachenka a également préconisé de rester à la maison s’il on présente des symptômes du virus. 
Il a également fait quelques commentaires – largement rapportés dans les médias occidentaux – donnant des conseils de santé :
"Je ne bois jamais d’alcool, mais ces derniers temps, je le dis en plaisantant, qu’il est nécessaire non seulement de se laver les mains avec de la vodka, mais probablement de consommer 40 à 50 gr d’une mesure d’alcool pur par jour – cela permet d’empoisonner ce virus. 
Mais pas au travail. 
Il a dit alors : "Aujourd’hui, allez au sauna. 
Mais si vous y allez deux à trois fois par semaine, c’est encore plus sain. 
Les chinois nous ont dit que ce virus ne pouvait pas résister à des températures de 60 degrés !".
Dans l’ensemble, l’approche biélorusse a été la moins autoritaire d’Europe. 
Le football biélorusse s’est déroulé normalement et les supporters ont pu continuer à assister aux matchs. 
Les théâtres, cafés et autres évènements sociaux se sont poursuivis et il n’y a pas eu de fermeture de l’économie. 
Les défilés du jour de la victoire ont également eu lieu le 9 mai, malgré leur annulation dans les pays comme la Russie. Loukachenka n’a pas non plus retardé les élections prévues, contrairement à Jacinda Ardern de Nouvelle-Zélande.
Les médias occidentaux ont traité l’approche de Loukachenka comme une curiosité risible. 
Ils se moquaient des commentaires de Loukachenka sur la vodka et les saunas, en utilisant cela comme un moyen d’éviter de poser des questions plus profondes.
Selon le récit officiel, la Biélorussie aurait dû être une zone morte, de destruction et de catastrophe. 
La modélisation de Neil Ferguson – l’un des éléments clés de la propagande utilisée pour mettre la Grande-Bretagne en confinement – avait prédit que le Covid-19 non contrôlé tuerait entre 54.090 et 71.616 biélorusses. 
 
 


 
Alors quels sont les faits ?
Les décès du covid-19 en Biélorussie :
La Biélorussie a une population d’environ 9,5 millions d’habitants. Sur cette population, au 12 décembre, un total de 1.263 décès sont enregistrés comme étant dus au Covid-19. 
Il semble que le premier décès biélorusse, lié à cette maladie ait lieu le 31 mars, avec entre 2 et 11 décès enregistrés chaque jour jusqu’au 12 décembre.
Il va sans dire que 1.263 décès sur une population de 9,5 millions d’habitants, ce n’est pas un chiffre qui fait peur et surtout qui ne représente pas une pandémie mortelle qui balaie tout un pays. 
Mais ceux qui critiquent l’approche biélorusse ont tenté d’affirmer que Loukachenka aurait caché 19 morts du Covid en Biélorussie.
Le plus logique pour examiner ce point épineux aurait été de vérifier en détails le nombre de morts récents supplémentaires de cette période, et d’analyser cet excédent. 
Bien sûr, le simple fait qu’il y ait eu un excès de décès ne prouverait pas que tous les morts ont été causés uniquement par le Covid. 
Il semblerait donc clair que l’affirmation selon laquelle Loukachenka cache beaucoup de morts du Covid, n’est absolument pas plausible.
Selon les données, il y a quelques décès supplémentaires en Biélorussie au deuxième trimestre de 2020 (avril, mai et juin), 35.858 sont morts en Biélorussie pendant cette période, 5.606 de plus qu’en 2019. 
En examinant les données, nous pouvons voir que la grande majorité de ces décès ont eu lieu en juin, avec pratiquement aucun décès en avril et un léger excédent en mai.
Ce chiffre est plutôt faible comparé aux prédictions de malheur et de destruction avancées par Neil Ferguson.
La Biélorussie en opposition à l’Angleterre et le Pays de Galles.
Une comparaison avec un autre pays qui a appliqué la méthode du confinement montre à nouveau que les prédictions alarmistes concernant les conséquences du non confinement sont sans fondement.
Cette analyse a été effectuée en prenant le nombre de décès excédentaires pour la Biélorussie, puis, en calculant les mêmes chiffres pour l’Angleterre et le Pays de Galles à partir des données hebdomadaires sur les décès de 2019 et 2020. 
La Biélorussie avait 5.606 décès supplémentaires en avril, mai et juin 2020 sur une population de 9,5 millions. 
L’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 54.798 décès supplémentaires au cours de la même période sur une population de 59,5 millions d’habitants.
La population de l’Angleterre et du Pays de Galles est 6,26 fois plus grande que celle de la Biélorussie, donc en divisant le chiffre de 54.798 par 6,26, on obtient un résultat de 8.754. 
Si la Biélorussie avait le même taux de mortalité excédentaire que l’Angleterre et le Pays de Galles, 3.149 décès supplémentaires auraient été enregistré en Biélorussie. 
Ou pour exprimer ces données d’une autre manière, si l’Angleterre et le pays de Galles avaient le même taux de mortalité excédentaire que la Biélorussie, il y aurait eu 19.711 décès de moins au cours de cette période.
 
 
 
L’article que avait pour but de soutenir le confinement !
Cette preuve devrait être accablante pour les partisans du confinement. Cependant, il y a une tentative pour expliquer le faible taux de mortalité en Biélorussie malgré le fait qu’il n’y avait pas de confinement là-bas, article publié dans le "British Medical Journal". 
L’article avance quatre raisons pour lesquelles la Biélorussie a un faible taux de mortalité, dont certaines offrent des données comparatives avec le Royaume-Uni.
La première raison invoquée dans cet article est que la Biélorussie a un nombre beaucoup plus élevé de lits par habitant – 11 pour 1000 par rapport aux 2,5 pour 1000 au Royaume-Uni.
Les services de santé trouvent généralement un équilibre entre le fait d’avoir suffisamment de lits disponibles pour faire face à une crise, et pas tellement que de l’argent soit gaspillé sur des lits inutiles. 
On peut faire valoir que le NHS se trompe d’équilibre et penche pour avoir trop peu de lits par habitant. 
Par exemple, le Royaume-Uni a enregistré un grand nombre de cas de grippe au cours de la saison 2017-2018, les hôpitaux ayant des taux d’occupation de lits élevés.
Cependant, le taux d’occupation des lits au Royaume-Uni a considérablement diminué en raison des confinements et de la politique du NHS consistant à libérer autant de patients que possible. 
Le 13 avril, quelques semaines après le confinement, les lits de soins actifs étaient à 40% inoccupés. 
Cela ne suggère guère un service de santé qui aurait été totalement débordé s’il n’avait pas été confiné (à titre de comparaison, les lits du NHS sont généralement pleins à 90%). 
Il se peut en fait que le confinement ait coûté des vies en annulant le traitement, en expulsant les gens des hôpitaux et en diffusant un message fondé sur la peur qui décourageait les gens de se faire soigner.
Un autre argument principal de l’article est que la Biélorussie compte un petit nombre de personnes âgées dans des maisons de retraite. (Il y en a 203 pour 100.000, contre 854 au Royaume-Uni pour 100.000). 
Il est vrai qu’un pathogène respiratoire aura plus de facilité à se propager dans un environnement comme une maison de soins en raison de la proximité de personnes vulnérables. 
Il est également vrai que le Royaume-Uni a connu un grand nombre de décès dans les foyers de soins au cours de cette période.
Cependant, la politique du gouvernement britannique à l’égard des foyers de soins a probablement contribué à au moins une partie des décès supplémentaires causés au cours de cette période. 
Les personnes dans les maisons de soins se sont vu refuser systématiquement les soins hospitaliers et n’ont pas pu accéder aux médecins généralistes. 
Le manque de visites de la famille a conduit de nombreux patients âgés à abandonner mentalement et leur état d’est détérioré. 
Les décès qui en résultent ne peuvent donc être attribués à un virus mais à une politique gouvernementale.
L’argument échoue également en tant que motivation pour les confinements. 
Si la majorité des décès surviennent dans un environnement assez confiné comme une maison de retraite, le confinement de toute la société, comme la fermeture de magasins et d’évènements sportifs, n’aura aucun effet sur la transmission dans cet environnement.
Deux autres raisons évoquées dans l’article – le meilleur système de test biélorusse et le manque d’intérêt pour la Biélorussie en tant que destination de voyage – n’ont pas non plus d’incidence sur la question de savoir si les confinements sont une stratégie efficace.
Il n’y a aucune preuve qui démontre qu’une personne avec un test positif ait automatiquement des symptômes infectieux. 
Il s’ensuit que tester plus de personnes n’entraînera pas moins de décès, ce qui ne peut donc pas expliquer le faible taux de mortalité en Biélorussie qui n’a pas adopté de confinement. 
La Biélorussie a mis en place des mesures de quarantaine, tandis que le Royaume-Uni a continué à autoriser les vols en provenance de l’étranger.
L’article soutient qu’il est plus facile pour la Biélorussie de fermer ses frontières car ce n’est pas une destination de voyage majeure, ce qui est vrai, mais on ne peut pas sérieusement affirmer que la mise en place de mesures de quarantaine coûte plus cher que la fermeture du pays tout entier une fois qu’un virus hypothétique est également présent dans un pays en nombre important, la quarantaine devient également inutile.
 
Conclusion :
Le cas de la biélorussie est un problème important pour les personnes qui soutiennent que les confinements étaient nécessaires pour éviter des décès massifs dus à la pandémie mortelle du Covid-19. 
Les mesures limitées prises en Biélorussie signifiaient un taux de mortalité inférieur à celui du confinement conduit par l’Angleterre et du Pays de Galles. 
Il n’y pas non plus d’arguments clairs quant à la raison pour laquelle la Biélorussie est si unique qu’elle pourrait se passer de confinement alors que d’autres pays ne le font pas.
Étant donné le coût pour l’économie et le bien-être mental des citoyens, le fait d’imposer des confinements, ainsi que les restrictions draconiennes qui touchent aux libertés fondamentales, ces faits suggèrent fortement que les dirigeants qui ont imposé des confinements auront des comptes à rendre…

Source : zerohedge
https://www.businessbourse.com/2020/12/21/la-bielorussie-dit-non-a-tous-ces-mensonges-relatifs-au-virus-et-au-confinement/
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