Titre : Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix !
link : Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix !
Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix !
Soyez bénis enfants de la Terre et recevez ma gratitude et celle de mon peuple pour votre belle ouverture cosmique !
Un nouveau message du professeur Zolmirel, recu par Aurélia Ledoux
Les messages forment une suite, pour plus de clarté, ils sont tous repris dans le sommaire : Sommaire
Je suis là amis, et suis prêt à poursuivre ce nouveau message.
Il s'agit de la suite de nos aventures sur la face ardente de notre planète.
En ce lieu, comme exposé la dernière fois, nous n'allions jamais, car la radiance et la luminosité nous indisposaient grandement.
Cette contrée nous était inconnue, nous savions seulement que vivaient là, ceux que nous nommons les êtres du soleil.
Nous ne les approchions point car ils demeuraient peu désireux de converser.
Mais cette année, là, sur mon monde, les savants avaient enregistré une hausse phénoménale de la radiance.
Nous étions bien sûr fort curieux d'approcher les êtres du soleil, mais seuls les sages se risquaient parfois à venir discuter avec eux par l'esprit, sans troubler leur vie ordinaire.
Il étaient très différents de nous, leur peau était dure et écailleuse.
Ils avaient l'allure de lézards minces et élancés rapides.
Oui, ils étaient très rapides.
Le sage Amoni et moi-même, étions abrités dans la cité de guérison d'Oranestivel.
Nous avions vivement questionné Erazel sur les êtres du Soleil et celle-ci répondait par énigmes à nos interrogations, aussi bien sûr, cela attisa encore plus notre curiosité.
Pourquoi voulez vous en savoir autant sur eux ? demanda t-elle.
Enfants que vous êtes, ce sont nos amis malgré tout ! s'écria t-elle avec un bon rire
Si ce sont nos amis, pourquoi ne se montrent-ils pas ? demanda le sage Amoni.
Nous serions heureux de les inviter à la prochaine réunion sur les champignons.
Les êtres du Soleil, ont peur... de l'ombre, répondit enfin Erazel
De l'ombre ? s'étonna le petit Zilner avec candeur.
En ce cas, recevons les en une clairière ensoleillée !
Ce n'est pas aussi simple, répondit la sage alien.
Sur notre monde le temps est changeant, humide.
Eux ne sont point habitués à cela. La plupart du moins.
Cela veut dire, que vous avez fait une découverte ! Ne puis-je m’empêcher d'ajouter
Oui, tout à fait, ils ne sont pas tous ainsi, et certains... ajouta Erazel avec amusement, ont très envie de visiter notre région.
Que voilà une excellente nouvelle !
Où sont-ils donc ? s'enquit Amoni
Ils nous attendent, fit notre ancienne avec un petit rire.
Mais ce sera un long voyage, il nous faudra tout le jour pour gagner la zone interdite.
Certes, mais comment gagner cette zone sans vaisseau ? Vous oubliez que les dispositifs à sustentation magnétique sont inopérants par ici, reprit Amoni.
Les moteurs et les réacteurs se bloquent.
Erazel se contenta de sourire et ne répondit rien.
Elle nous invita simplement à apprêter nos effets.
Nous serons revenus bientôt, émit-elle à l’attention d'Amoni. Mon ami était vivement partagé entre le souhait de voir des êtres du soleil et celui de rester auprès du petit Nerti en phase de guérison.
Il décida finalement de rester, car Zilner était très craintif, et désireux de visiter le grand observatoire.
Nous sommes donc montés, Orel, Dorian, Erazel et moi-même, dans un petit élévateur qui nous amena sur un quai de chargement.
Je fixais avec étonnement un étrange véhicule muni de roues qui nous attendait.
L'engin était capable de se déplacer à la fois sur des rails, mais aussi par voie de terre et d'eau.
Il était de forme élancée et arrondie, avec des couleurs blanches et orangées peu courantes par chez nous.
C'est un véhicule tempéré, précisa Erazel à mon intention.
Car en effet, le toit comportait une série de blindages antichaleur et un convertisseur dernier cri, ainsi qu'un dissipateur thermique.
Ce dissipateur possédait un ensemble d'ailettes métalliques grises de forme verticale, fixées sur le toit du transport, multipliant sa hauteur par trois lorsqu'il était déplié.
Erazel monta à l'avant et s’installa aux commandes. Je pris place sur un fauteuil douillet et m'empressais de préparer de la lecture pour le temps du trajet.
Mais je sentis que mon intérêt serait tout autre.
Nos amis guérisseurs sont-ils au courant de notre petite escapade ? demandais je à la sage ancienne.
De même que les membres de la surveillance des transports ?
Bien sûr, bien sûr, fit Erazel.
Ils ont pleinement approuvé cette initiative.
Voici une ombrelle pour vous, dit-elle en me tendant un étrange parapluie muni d'un réflecteur éblouissant argenté.
Je remerciais Erazel et réprimais une peur tenace, car en ce lieu où nous allions la température serait de 60 degrés.
Les êtres comme moi ne peuvent résister à un tel degré d'évaporation que durant une dizaine de minutes.
Dorian m'adressa un sourire énigmatique d'une infinie bonté.
Soyez certain ami, que nous veillerons sur vous.
Dix minutes, cela est trop peu pour une conversation aussi passionnante.
Tout désagrément vous sera épargné.
Je remerciais mes amis êtres de Lumière, qui pouvaient se trouver sans encombres en des environnements très hostiles.
Notre voyage commença.
Le petit transport plongea en un agréable vol plané sur plusieurs milliers de mètres.
Erazel déploya une grande voile et guida le vaisseau avec une aisance extraordinaire entre les tourelles, les arches et les palais de guérison.
Puis, elle le posa avec précision sur des rails, où il rebondit légèrement.
Ensuite, notre vitesse s'accrut, elle fut considérable.
Aussi, notre experte déploya le refroidisseur sur le toit du vaisseau.
Le vent, en s'engouffrant dans les ailettes, permit de climatiser la cabine.
Je pus respirer bien plus à l'aise.
Et Dorian me tendit un verre de rafraîchissant d'un petit bar réfrigéré qui n'était pas là un instant plus tôt.
Habitué à tout ce qui demeurait inexplicable à mes yeux, je souris en buvant le liquide au goût fruité.
Notre petit transport traversa bientôt un vaste désert de pierre.
Il entra en un champ de zones pierreuses parsemées de rocs imposants et … de cactus !
Je bégayais de joie face à ces végétaux fantastiques de deux à quatre mètres de haut, parés pour certains de fleurs exceptionnelles. Nous avons aperçu également des champs de formations nouvelles avec des êtres biominéraux et une importante population de cristaux.
Le ciel au lieu d'être blanc nacré par chez nous, devint bleu outremer et azur sur la portion du levant.
Des échos télépathiques de plus en plus précis se firent jour.
Il y avait des êtres qui vivaient en ce lieu !
Je m'extasiais devant les formations montagneuses superbes qui enchantaient notre regard.
A chaque fois, des montagnes encadrées de hauts canyons, de reliefs érodés par les millénaires, de dunes pierreuses, se faisaient jour.
Au bout de plusieurs heures, nous avons aperçu une citadelle, entièrement taillée dans la montagne avec des tours de pierre orangée et des fenêtres minuscules.
C'était bouleversant, fascinant !
Car rien ne poussait en ce lieu.
Nous avions l'impression de nous trouver aux premiers temps de notre monde.
Plusieurs bips résonnèrent sur le transpondeur et à chaque fois, Erazel y répondait avec des paroles paisibles, nous ne faisions que passer.
Que redoutent les habitants de ce lieu ? m'étonnais-je
Ils ne redoutent rien, ils demandent juste si nous sommes sains d'esprits, car nul transport ne suit cette route. Ils veulent savoir si nous désirons des provisions.
Les habitants du désert sont généreux, fit Erazel, mais ensuite, nous aurons affaire à des êtres méfiants.
C'est une croisade de la paix mes amis, fit-elle avec une joie formidable !
Vint l'heure du déjeuner, aussi, nous sommes-nous abrités derrière une haute montagne pour nous restaurer.
Ensuite, je me risquais à l'extérieur du vaisseau, muni de mon ombrelle, en compagnie de Dorian.
Follement heureux, je ne ressentis nul désagrément, juste une douce chaleur et une brise fraîche.
Je fixais Dorian avec étonnement et devinais qu'il se trouvait à l'origine de pareil prodige.
Mon ami éclata de rire.
Je me penchais auprès d'un petit cactus rabougri et murmurais des bénédictions, j'y versais un peu d'engrais, et saisis mon appareil de sondage.
Cette plante avait exactement dix ans, et sa croissance avait été stoppée net.
J'étais tout ému de pareille découverte. Les cactus que mes confrères faisaient croître en des serres tropicales avaient atteint des hauteurs majestueuses.
Dorian me mena auprès d'autres spécimens et j'effectuais quelques prélèvements de pollen.
Je sentis un vague signal psychique et me retournais.
Un cactus en fâcheuse posture était presque couché, et déraciné. Le sol sur lequel il avait pris pied s’effritait lentement. Saisissant ma pensée, Dorian prit un pot de transport et commença à creuser autour de la plante.
Il extirpa les racines et arrosa l'ensemble, en faisant jaillir l'eau de ses mains.
J'étais complètement muet de stupeur de ces facultés qui me firent venir les larmes aux yeux.
Dorian me fixa avec modestie.
Nous usons peu de ces facultés, ou alors seulement lorsque le besoin s'en fait sentir. Ce cactus sera tout à fait mieux dans la serre de votre ami, dit-il en me tendant la plante.
Je pris le végétal avec un sentiment inouï de merveilleux. Nous sommes revenus au vaisseau, et juste avant d'entrer j'éprouvais durant quelques secondes une impression de chaleur oppressante très vive.
Je devinais que Dorian avait agi de la sorte pour me montrer combien ce lieu était dangereux pour les miens.
Nous étions très heureux de cette petite escapade, notre transport a repris la route, chacun empli d'allégresse de découvrir cette région nouvelle.
Peu avant l'heure du soir, les rails cessèrent brusquement et une route cahoteuse y fit place.
Nous sommes parvenus à un embranchement, trois directions s'offraient à nous.
Erazel prit la route de gauche, celle qui plongeait le plus en la région désertique.
Nous avons compris alors que ce péril était bien grand lorsque le sable apparut, il ne faudrait qu'une crevaison pour nous mettre dans une situation dangereuse.
Mais Erazel avait tout prévu.
Elle activa un petit générateur à fusion lente et un réacteur photonique dernier cri se déploya, ainsi qu'un mât de capture d'énergie solaire.
Le réacteur toussa et cracha un peu de sable, puis démarra.
Le transport bondit vers le ciel, comme le ferait un de vos avions. Je frémis d'aise, heureux et ravi de ce prodige.
Pourquoi donc n'avez vous pas mis en route ce dispositif plus tôt ?
Je désirais approcher le peuplement végétal de cette contrée de près, et vous aussi, fit Erazel.
Ma sœur est botaniste, elle ne trouvera pas de mots assez forts pour me remercier de ceci, dit-elle en montrant la soute où une quinzaine de cactus en mauvaise posture attendaient d'être replantés.
Vous avez pris les plus abîmés, fis-je remarquer.
Cela est très noble !
Des plantes aussi courageuses méritent un lieu plus plaisant, souligna Erazel qui aimait à secourir les végétaux !
Le vaisseau plana devant le soleil qui approchait du couchant.
Son petit compagnon plus brillant et plus éloigné avait déjà décliné sous l'horizon, ce qui permit à une fraîcheur bienvenue de se déployer.
Nous nous sommes dirigés droit vers un ensemble de montagnes acérées.
Erazel était guidée par l'esprit par son mystérieux interlocuteur et nous sentions la puissance télépathique augmenter, ce qui signifiait que nos hôtes nous attendaient.
Notre ancienne posa le vaisseau dans une vallée où il rebondit avec quelque heurts.
Il ralentit et s'immobilisa dans une éminence sableuse. Erazel le fit reculer, puis sortit.
Je la rejoignis avec un balai et m'empressais de retirer tout le sable des turbines.
Nous nous sommes mis en route sans hésiter.
La température était bien plus clémente en cette région et notre vision révéla un paysage très beau.
Nous avons grimpé un raidillon parvenant à un haut plateau, extrêmement plat, avec une petite dépression remplie d'eau. Près de l'eau, leur silhouette se découpant dans le crépuscule orangé, deux lézards nous attendaient.
Nous nous sommes inclinés avec politesse et ils ont fait de même.
Erazel récita des bénédictions traditionnelles et les deux lézards s'avancèrent avec précautions, ils portaient chacun une lance à énergie.
Surpris, ils constatèrent que nous n'avions nul armement.
L'un d'entre eux était paré d'écailles noires et blanches, son regard était rouge, l'autre possédait un coloris plus sable avec des yeux verts du plus bel éclat.
Je compris leurs paroles grâce à la télépathie.
Que faites vous voyageurs en ce lieu perdu ?
Quelle audace est la vôtre de vous aventurer en cette contrée sans armes ? gronda le plus grand reptile aux écailles noires et blanches
Il n'est nul besoin d'armes pour qui connaît les périls de ce désert et sait anticiper les conflits, fit Erazel posément
Nous sommes surpris que des êtres de science souhaitent deviser avec nous, ajouta promptement le plus jeune lézard avec étonnement !
Nous sommes curieux de vous connaître mieux, car le mystère qui entoure cette région est bien grand par chez nous, exposais-je au plus jeune être
Il en est de même pour moi, fit le lézard avec bonté, et je suis prêt à affronter l'ombre, pour pouvoir visiter votre région !
Tu vas un peu vite mon jeune ami, gronda le plus âgé, il n'en a point été décidé ainsi ! dit-il d'un air contrarié
Ils débattirent, et cela prit l'allure d'un palabre sempiternel. Un peu déçu, je fixais le plus jeune des lézards, beaucoup plus ouvert que son aîné au caractère il me faut l'avouer, quelque peu grincheux.
Lorsqu'un troisième lézard, très différent, apparut. Celui-ci était beaucoup plus grand et tout doré.
A sa voix et son allure plus gracieuse, je devinais qu'il s'agissait d'une femelle.
Eh bien que se passe t-il ici ? demanda t-elle
Nous débattons au sujet des visiteurs de l'extérieur, fit le lézard aux écailles noires et blanches en un ton important plutôt contrarié
Je le vois bien, mais quand vas tu donc les inviter à venir ? Il se prépare une tempête.
Aurais-tu oublié tes bonnes manières ? demanda t-elle avec un mélange d'assurance et de grâce
Les deux lézards ne trouvèrent nulle phrase à formuler. Ils nous firent signe de les suivre.
Erazel et nous tous sommes remontés dans le petit transport, puis avons suivi le vaisseau effilé aux lignes nerveuses des lézards.
Il se rendit en un canyon très profond, et juste derrière, une citadelle vivement éclairée était visible.
Le lieu était vaste et ceinturé de plusieurs murailles.
Nos deux vaisseaux sont entrés avec célérité dans cette grande ville, puis se sont posés auprès d'une vaste demeure de pierre avec deux étages.
L'endroit était joliment agrémenté de cactus et de plantes étranges.
Nous sommes entrés dans la demeure comme les lézards nous y invitèrent.
Le plafond était bas, et une lueur dorée douillette donnait un caractère chaleureux au salon.
Nos hôtes nous installèrent à même le sol sur des coussins. L'intérieur de cette famille était décoré de divers objets dorés comme le cuivre ou l'or, des vases admirables en quantité, des lampes finement ouvragées nombreuses trônaient sur des étagères, il y en avait en tout une cinquantaine.
Entre les lampes, une grande variété de poteries colorées étaient visibles, ainsi que des appareils de communication extrêmement avancés.
Les lézards aimaient le pourpre et le vert, et ces deux couleurs agrémentaient les tapis, les voilages et même les cadres accrochés aux murs.
Nous avons compris qu'il s'agissait d'une famille unie et que le père était très craintif à l'idée de voir son fils partir loin de lui.
Le débat entre eux nous apparut bien plus cohérent.
La mère se nommait Ektemoria, le père Hisbel, et le fils Alantakiu.
Il s'agissait du peuple des Hellnir.
Les Hellnir étaient très anciens, nos légendes en parlaient déjà et ils avaient développé comme nous l'art de conter des histoires.
Leur monde était autosuffisant, très bien protégé contre les bêtes sauvages qui parcouraient les dunes à la tombée de la nuit.
Seulement, ils avaient été frappés par la radiance de plein fouet et d'étranges mutations avaient lieu chez eux.
En voyant Orel et Dorian ils détournèrent les yeux craintivement.
Que se passe t-il ? demanda Erazel par la pensée.
Ce sont des amis, n'ayez crainte.
Nos enfants et beaucoup d'adultes ont muté, ils ont désormais cette apparence lumineuse, énergétique, sans que nous comprenions pourquoi.
Leur carapace s'est dissoute et ils ont acquis une apparence autre, si belle, mais si insaisissable.
Les savants ne parviennent pas à l'expliquer.
Alors, c'est qu'ils ont été touchés par la grâce, exposa Orel.
Il faut vous en réjouir.
Cette phrase apaisa nos interlocuteurs.
Ils nous servirent des mets raffinés, à base de plantes, d'algues et de fruits frais.
Chacun de nous s'en étonna.
Nous faisons pousser tout ceci en sous sol, près des oasis, expliqua Ektemoria.
Il y a là bien de l'ouvrage, mais nous aimons les plantes.
Après le repas, elle nous invita à la suivre.
Nous sommes entrés en un vaste boyau peu éclairé, puis, nos hôtes nous menèrent en une cabine d'élévateur.
Erazel me fit signe que tout allait bien et j'entrais dans la cabine à sa suite, un peu inquiet.
La cabine descendit profondément, et s'ouvrit, une senteur merveilleuses alors, de fougère et d'humus vint à moi.
Je bégayais de joie, car nos amis du désert avaient réussi, comble de joie, à faire pousser... une forêt toute entière !
Nous tentons de nous habituer, de plus, en plus à l'ombre, expliqua notre hôtesse avec un rire.
Je ne trouvais rien à dire, tout absorbé par la beauté d'arbres immenses d'une espèce inconnue qui laissaient tomber les fruits les plus sucrés.
Nous avons aidé nos amis à les récolter et je surpris une petite silhouette furtive.
C'était un petit alien qui jouait entre les tronc avec un autre encore plus jeune.
Il existe quelques familles d'Ilstirr parmi nous.
Vous voyez, nous ne sommes pas aussi fermés sur le monde que vous pouvez le croire, émit Ektemoria
En ce cas, pourquoi n'êtes vous pas venus lorsque nous vous avons invités ? demandais-je
Les esprits sont longs à changer, émit-elle, mais aujourd'hui, ce sera différent.
Mon fils vous suivra.
A son retour, il nous contera le récit des ses aventures par chez vous.
Cela encouragera d'autres voyageurs à venir vous visiter.
Et vous serez de même les bienvenus.
Elle descendit un petit passage et montra une agréable demeure arrondie, exactement identique à celles que les miens construisent.
J'y entrais, un peu hésitant, sur son invitation, Erazel me suivit.
Quel est donc cet endroit ? demandais-je.
Il y a forcément des Galmols qui sont venus ici et qui ont construit ce lieu.
Oui, il en est bien ainsi, fit Erazel en riant de joie. Nous avons agi de la sorte pour réunir deux mondes.
Cette demeure doit abriter la future délégation Kolal et Galmol.
Elle ressortit lentement, et sourit.
Ce sont eux qui l'ont construit, dit-elle en montrant un groupe de lézards un peu hésitants.
Les lézards approchèrent et nous entourèrent, très curieux de faire connaissance.
Nous nous sommes assis à une vaste table, dans la belle clairière et Erazel, ainsi que Dorian, firent apparaître des mets pour tout le monde.
Il y eut de grandes exclamations de joie.
D'autres lézards, extraordinairement beaux nous entourèrent.
Ceux là étaient de coloris variés et luminescents.
Un petit orchestre se forma, alors, ils commencèrent à jouer un petit air entraînant.
Chacun rit de bonheur et même Hisbel trouva à se réjouir de sa séparation avec son jeune fils.
Orel conta le récit de nos aventures par le biais de l'esprit à nos hôtes ravis.
Je souris et plongeais dans un demi sommeil fort paisible, puissamment irradié par le fluide des êtres de lumière et des lézards éthérés.
Cette ambiance de joie, d'amour immense était un bonheur sans fin.
Je me sentis porté et m'endormis sereinement en ce lieu.
J'ai été ravi de donner la suite de ce message.
Soyez bénis enfants de la Terre et recevez ma gratitude et celle de mon peuple pour votre belle ouverture cosmique.
Source blog : http://www.unepetitelumierepourchacun.com
ainsi, les articles Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix !
soit tous les articles Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix ! Cette fois, nous l'espérons peut offrir des avantages à vous tous. Bon, vous voyez dans un autre article affichage.
Vous lisez maintenant l'article Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix ! avec l'adresse du lien https://derinfos.blogspot.com/2019/07/professeur-zolmirel-la-croisade-de-la.html
0 Response to "Professeur Zolmirel : La Croisade de la Paix !"
Post a Comment