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L'ECONOMIE - Vendredi 10 mars 2017
L'ECONOMIE - Vendredi 10 mars 2017
L'ECONOMIE
Vendredi 10 mars 2017
Hamon candidat de la feuille de paie et d’une nouvelle UE
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Benoît Hamon lors de « L’Emission politique », sur France 2, à Saint-Cloud, le 9 mars.GABRIEL BOUYS / AFP
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Benoît Hamon, candidat socialiste à l’élection présidentielle, a dit vouloir attaquer « la feuille de paie » et augmenter le salaire net grâce à son projet de revenu universel, qu’il a modifié pour les 18-25 ans jeudi soir sur France 2. Interrogé lors de « L’Emission politique » sur la mise en place de sa proposition de revenu universel, M. Hamon a déclaré vouloir « d’abord proposer une étape qui permet à 80 % des salariés français, des travailleurs indépendants, des commerçants, artisans, de voir leur travail revalorisé par un gain net sur la feuille de paie ».
« J’attaque la feuille de paie, j’augmente le salaire net », a martelé le candidat socialiste, comme en écho à son ancien rival de la primaire et désormais soutien Arnaud Montebourg, qui s’était posé en « candidat de la feuille de paie » durant la primaire. Concrètement, M. Hamon souhaite « que les 18-25 ans et l’ensemble des salariés » touchant « jusqu’à 1,9 smic perçoivent un revenu universel ». Son montant « sera de 600 euros quand on n’a rien », et sera « dégressif » pour ceux percevant un revenu « jusqu’à 1,9 smic ». Selon sa proposition présentée jeudi, « la conséquence sur la feuille de paie », pour « un couple au smic » sera de « 386 euros » net mensuels, a argué le député des Yvelines. M. Hamon a chiffré la mise en place de cette première étape à « 35 milliards d’euros », « en deçà du pacte de responsabilité et du CICE », instaurés par François Hollande et d’un coût d’environ 41 milliards d’euros.
Benoît Hamon veut par ailleurs confier à un Parlement de la zone euro le pouvoir de fixer les règles budgétaires et la mise en œuvre d’une harmonisation fiscale et sociale au sein du bloc, pour en finir avec l’ « austérité » et faire reculer le populisme. Le candidat socialiste à l’élection présidentielle estime dans une interview publiée jeudi par Le Monde que l’Europe, aujourd’hui, « ne marche pas ». « Elle se livre à une forme de fuite en avant, considérant que la prospérité en Europe ne peut nécessairement passer que par l’austérité à l’intérieur de l’Union et par le libre-échange absolu sur tous les sujets à l’extérieur », dit-il. « Cette vision de l’Europe est en train de fabriquer sa perte. Partout sur le continent on constate la montée des nationalismes et des extrêmes droites, qui ne peuvent nous mener qu’au pire », ajoute-t-il dans ce long entretien. Il juge que les deux favoris des sondages ne répondent pas à ce défi puisque la présidente du Front national, Marine Le Pen, veut un « repli sur l’Etat-nation » tandis que le candidat d’En marche ! Emmanuel Macron entend, lui, perpétuer les politiques actuellement menées au niveau européen.
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La BCE revoit la croissance à la hausse et maintient le statu quo. La Banque centrale européenne a révisé en légère hausse ses prévisions de croissance du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro pour 2017 et 2018, a annoncé jeudi le président de l’institution, Mario Draghi. Selon ces nouvelles prévisions, l’institution monétaire européenne table désormais sur une croissance de 1,8 % en 2017 et de 1,7 % en 2018, contre auparavant 1,7 % et 1,6 % respectivement, a expliqué M. Draghi lors de sa conférence de presse régulière. Pour 2019, elle continue comme avant d’attendre une croissance de 1,6 %. L’institution de Francfort s’est félicitée jeudi de l’embellie économique à l’œuvre dans la zone euro, mais a décidé de maintenir inchangé le cours de sa politique très interventionniste, jugeant l’évolution des prix encore trop faible.
Les Français partagés sur l’appartenance à l’UE, opposés à la sortie de l’euro. Les Français sont partagés sur l’appartenance de la France à l’Union européenne, mais très majoritairement hostiles à la sortie de l’euro pour revenir au franc, selon un sondage Elabe diffusé jeudi. N’en déplaise à M me Le Pen, l’idée de « sortir de l’euro pour revenir au franc » ne recueille que 28 % d’avis favorables, contre 72 % qui y sont opposés.
Procès Pérol : deux ans avec sursis et 30 000 euros d’amende requis. Une peine de deux ans de prison avec sursis, 30 000 euros d’amende et une interdiction d’exercer toute fonction publique ont été requis jeudi contre François Pérol, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, qui comparaît devant la cour d’appel pour « prise illégale d’intérêts ». Il est reproché à l’ancien secrétaire général adjoint de la présidence de la République d’avoir accepté en février 2009 de prendre la tête du groupe issu du mariage entre la Banque populaire et la Caisse d’épargne (BPCE) alors qu’il avait suivi cette fusion.
BMPS maillon faible du système bancaire italien. La banque BMPS, qui s’apprête à être nationalisée provisoirement par l’Etat italien, a annoncé jeudi avoir enregistré en 2016 une perte nette de 3,24 milliards d’euros en 2016. La banque, qui accumule les difficultés depuis de longues années, avait enregistré l’an passé un bénéfice net de 390 millions d’euros, son premier en cinq ans. Mais malgré les tentatives de redressement menées par son management, avec l’annonce par exemple de la suppression de 2 450 emplois et la fermeture d’un quart de ses agences, la banque n’est pas parvenue en décembre à récolter sur le marché les 5 milliards d’euros dont elle avait besoin alors pour se recapitaliser. Son besoin en capitaux est désormais estimé à 8,8 milliards d’euros. La BMPS est considérée comme le maillon faible du système bancaire italien, en particulier en raison de l’importance des créances douteuses – des prêts risquant de ne jamais être remboursés – dans son portefeuille.
Airbnb vaut 31 milliards de dollars. La plate-forme en ligne américaine de réservation d’hébergements Airbnb est désormais évaluée à 31 milliards de dollars après une nouvelle levée de fonds auprès d’investisseurs privés, a fait savoir jeudi une source proche de l’entreprise.
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Micro-Macro
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par Thibaut Soulcié |
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1,2 milliard de barils
C’est la taille approximative du gisement de pétrole découvert par la compagnie pétrolière espagnole Repsol en Alaska. Il s’agit de bruts légers « récupérables »,a dit jeudi la société. Un porte-parole a précisé que c’était sa plus importante découverte depuis 2009, au Venezuela. « Repsol et son partenaire Armstrong Energy ont réalisé en Alaska la plus grande découverte conventionnelle d’hydrocarbures des trente dernières années sur le sol américain », représentant un potentiel maximal de 120 000 barils par jour, affirme la compagnie.
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Y a-t-il un risque d’éclatement d’une bulle sur les marchés financiers ?
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Un passant regarde un tableau de cotations de la Bourse de Tokyo, dans la capitale nippone, le 10 mars 2017. KAZUHIRO NOGI / AFP
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Les marchés seraient-ils devenus irrationnels, s’interroge The Economist ? En effet, malgré les tumultes politiques, le Dow Jones a franchi 20 000 points en janvier, et a dépassé 21 000 points ce mois. Certains indicateurs montrent que les marchés sont très hauts. Les PER (price earning ratios), rapport entre les prix des actions et les profits, sont près de 30. Ils n’ont été aussi élevés que deux fois – à la fin des années 1990, pendant le boom Internet, et juste avant le krach de… 1929. Mais les investisseurs sont peut-être leurrés par des indicateurs économiques en apparence au vert, comme le prix des matières premières en hausse de 10 % sur un an ou les attentes de réduction d’impôts massives, de dépenses en infrastructures et de déréglementation de l’administration Trump, qui a revigoré les « esprits animaux » des investisseurs en Amérique ! Pourtant, il y aurait des raisons de s’inquiéter. Aux Etats-Unis, les dépenses de consommation et la production industrielle ont reculé en janvier. Le programme fiscal de M. Trump pourrait mettre au moins un an avant de passer sous les fourches caudines du Congrès américain et d’être appliqué. La politique monétaire devient par ailleurs moins accommodante. La Fed devrait augmenter ce mois-ci ses taux d’intérêt. En Chine, la politique de crédit devient plus resserrée. A la politique se mêlent aussi des difficultés à venir. Des élections aux Pays-Bas, en France et en Allemagne donneront une possibilité aux électeurs de sanctionner les partis établis. Le populisme menace la mondialisation, qui bénéficie pourtant aux sociétés grâce à la libre circulation des biens, du travail et du capital. Dès lors il sera difficile de conjuguer à la fois l’euphorie des marchés financiers et les votes populistes. Il est temps pour les investisseurs de prévoir des « parachutes » en cas de chute des marchés…
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« Les élections françaises joueront un rôle déterminant, quelle qu’en soit l’issue, parce qu’on aboutit soit à un renforcement possible du rôle franco-allemand, soit à une hypothèse lourde de conséquences non seulement pour la France, mais pour toute l’Union européenne. Cette hypothèse est celle d’une sortie de l’euro qu’envisagent certains candidats. Elle ouvrirait, à court terme, une période de très grave incertitude, de grand déséquilibre et d’appauvrissement de la France »
Une sortie de l’euro, scénario envisagé par la candidate du Front national, Marine Le Pen, entraînerait pour la France « une période de très grave incertitude », déclare la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, dans un entretien à paraître vendredi dans Le Parisien.
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L'éco & moi |
Mon argent. Plus d’un quart des propriétaires de maison rêvent d’une piscine. Ainsi 26,5 % des propriétaires de maison seraient prêts à plonger pour l’achat d’une piscine, selon une étude Piscines Magiline réalisée auprès de 1 000 Français habitant en maison avec jardin. Premier marché d’Europe, la France comptait à la fin de 2016, 1,91 million de bassins (enterrés et hors-sol), soit 84 652 de plus qu’ à la fin de 2015. L’engouement des Français pour les piscines continue à progresser, toutes catégories socioprofessionnelles confondues. En outre 18,5 % des Français en posséderaient déjà une. Sans surprise, les habitants du sud de la France (31,5 %) sont les plus nombreux à rêver de ce luxe, mais la tendance s’invite également en région parisienne (31 %) et dans l’Ouest (Pays de la Loire, Bretagne et Poitou-Charentes) avec 30 % des interrogés qui se déclarent prêts à investir. Piscine rime d’abord avec convivialité. A cet effet, 33 % évoquent l’occasion de « passer de bons moments en famille ou entre amis ». Interrogés sur les critères d’achat, la facilité d’entretien (67 %) arrive en tête suivie de la consommation économique en matière d’eau, d’électricité et de consommables (61 %). Le nombre de piscines privées installées dans l’Hexagone a été multiplié par 2,5 en quinze ans, passant de 708 000 en 2000 à près de 2 millions en 2016, selon les derniers chiffres de la Fédération des professionnels de la piscine et du spa (FPP).
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Perceptions de la pauvreté et engagement solidaire en France. A la veille d’échéances politiques majeures et à l’occasion du lancement de sa campagne « Liberté, égalité, sans préjugés », le Secours catholique-Caritas France a réalisé avec Viavoice une grande enquête sur les perceptions liées à la pauvreté en France :
- Pour 81 % des Français, la pauvreté devrait être décrétée grande cause nationale (et, pour 72 % d’entre eux, le sujet n’est pas assez pris en compte dans le débat politique).
- Les Français ont dans l’ensemble une bonne perception des réalités sociales existantes pour les plus démunis. Contrairement à certains discours politiques, les causes de la pauvreté citées sont, pour la plupart, structurelles et ne rejettent pas la faute sur les personnes en difficulté.
- Néanmoins, des tensions et des contradictions persistent ; ainsi, si les sondés estiment que leurs concitoyens ont trop de préjugés sur les pauvres (61 %) ou les migrants (54 %), ils sont tout de même 31 % à juger que le système social en place favorise l’assistanat, et 54 % pensent qu’il « est possible de trouver un emploi quand on le cherche vraiment ».
- Enfin, les personnes interrogées ne perçoivent pas la lutte contre la pauvreté comme un objectif à porter par les seuls pouvoirs publics. En effet, 48 % des Français, et 54 % des 18-24 ans, estiment qu’il s’agit de la responsabilité de l’ensemble des citoyens.
Liban - Tant que la diaspora le soutiendra. Le Liban a en partie résolu son blocage politique par l’élection d’un président et la nomination d’un nouveau gouvernement. Et ceci pourrait relancer un peu l’activité en 2017. Sur le plan économique, le pays reste bicéphale avec un Liban de l’étranger (la diaspora) qui pèse davantage que le Liban intérieur. Malgré les crises, le soutien financier de cette diaspora et sa confiance dans le système bancaire assurent le financement des très larges déficits budgétaire et courant.
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