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L'ECONOMIE - Lundi 6 mars 2017

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L'ECONOMIE - Lundi 6 mars 2017

L'ECONOMIE

         Lundi 6 mars 2017

PSA-Opel : vers la taille critique face aux concurrents

Logos des calandres de véhicules Opel (à droite) et Peugeot (à gauche).
Logos des calandres de véhicules Opel (à droite) et Peugeot (à gauche). PHILIPPE HUGUEN / AFP
PSA et General Motors (GM) ont officialisé lundi l’acquisition de la filiale européenne de l’entreprise américaine par le constructeur français, donnant naissance au deuxième groupe automobile du Vieux Continent. L’achat coûtera 1,3 milliard d’euros à PSA. Outre le rachat des marques Opel et Vauxhall, qu’il espère faire revenir dans le vert d’ici à 2020, PSA (marques Peugeot, Citroën et DS) va reprendre conjointement avec la banque française BNP Paribas la filiale financière de GM Europe pour 900 millions d’euros, a-t-il précisé dans un communiqué. Cette officialisation survient trois semaines après la révélation surprise de son intérêt pour Opel, boulet financier de GM depuis des années. Peu de détails ont filtré jusqu’ici sur les termes de l’accord, conclu à l’issue de négociations « rondement menées » et avalisées vendredi par le conseil de surveillance de PSA (marques Peugeot, Citroën et DS), selon une source proche du dossier. Une fois l’opération bouclée, ce qui pourrait prendre des mois, PSA va augmenter son périmètre d’un tiers, ajoutant 1,2 million d’unités annuelles d’Opel (et Vauxhall au Royaume-Uni) aux 3,15 millions qu’il a immatriculées en 2016. Un « champion européen de l’automobile », comme l’a espéré Carlos Tavares, le patron de PSA ? En tout cas le deuxième groupe européen du secteur derrière Volkswagen et devant Renault. Il s’agit d’un pas vers la « taille critique », notion essentielle dans une industrie automobile gourmande en capitaux, sur fond de resserrement des normes et d’explosion des budgets de recherche et développement.
Le groupe PSA nouvelle formule fera encore figure de poids moyen chez les grands constructeurs généralistes, face à Volkswagen, GM, Toyota et Renault-Nissan, qui ont tous commercialisé environ 10 millions de véhicules en 2016. PSA va aussi passer de quelque 95 000 employés à 130 000 et récupérer des usines au Royaume-Uni, en Allemagne, en Pologne, en Hongrie et en Espagne. Mais les « synergies » promises par M. Tavares pour remettre Opel et Vauxhall à flot suscitent déjà des inquiétudes des syndicats sur la pérennité d’une partie des emplois. La division européenne de GM est en déficit chronique, ayant encore perdu 257 millions de dollars l’année dernière. Sur seize ans, la facture s’élève à 15 milliards de dollars pour le colosse de Detroit. Mais Carlos Tavares s’est voulu rassurant lundi affirmant qu’il ne serait pas nécessaire de fermer des usines d’Opel, une solution « simpliste » selon lui, tant qu’elles parviennent à respecter des objectifs de productivité. « Tout le monde aura l’opportunité d’atteindre les critères de référence en terme d’efficacité, et tant que nous progressons vers cette référence, il n’est pas nécessaire de fermer des usines », a déclaré M. Tavares. Le groupe PSA a publié de solides résultats financiers pour 2016 avec 2,15 milliards d’euros de bénéfice net et une marge opérationnelle record. Il s’agit d’un retournement spectaculaire pour une entreprise qui n’avait été sauvée de la faillite il y a trois ans que par l’entrée à son capital de l’Etat français et du conglomérat industriel chinois Dongfeng, aux côtés de l’autre actionnaire de référence, la famille Peugeot. M. Tavares s’est dit persuadé de pouvoir sortir Opel de l’ornière par les mêmes méthodes (rationalisation, chasse aux coûts…) qui ont permis de remettre PSA dans le vert, et a promis de conserver à la marque son identité, pierre angulaire d’une future stratégie commerciale. Cette recomposition du paysage automobile européen va alimenter les conversations des dirigeants du secteur, rassemblés mardi et mercredi aux journées de presse du Salon automobile de Genève (Suisse).
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Deutsche Bank revoit de fond en comble sa stratégie. Fragilisé par des amendes en pagaille et de lourdes pertes, le grand groupe bancaire allemand Deutsche Bank a amorcé dimanche un revirement stratégique en annonçant une augmentation de capital et diverses mesures pour renforcer son assise financière. La banque de Francfort (ouest de l’Allemagne) va émettre au début d’avril près de 690 millions d’actions nouvelles, auxquelles pourront souscrire les actionnaires actuels, pour lever environ 8 milliards d’euros, a-t-elle annoncé dimanche dans un communiqué. La banque, engagée de longue date dans une vaste restructuration, a par ailleurs annoncé la mise en Bourse « dans les vingt-quatre mois » d’une part minoritaire de sa division de gestion d’actifs, dont la valeur est estimée par les analystes à environ 8 milliards d’euros. A l’inverse, le réseau de détail Postbank, que Deutsche Bank a cherché sans succès à céder depuis 2015, restera finalement dans le giron du groupe et sera progressivement intégré. Conjuguées à de futures cessions d’actifs, ces mesures doivent permettre de lever d’ici à 2019 jusqu’à 2 milliards d’euros de capital supplémentaire. Pendant longtemps Deutsche Bank a voulu faire jeu égal avec les grands établissements bancaires anglo-saxons. Cette stratégie, qui a conduit la banque à se lancer à corps perdu dans les activités de marché, a aussi été l’origine de nombre de scandales. Les décisions de dimanche visent à « renforcer l’implantation de la banque sur son marché domestique et sa position de banque d’excellence européenne avec une portée mondiale », a fait savoir Deutsche Bank.
Bonnes nouvelles du FMI pour l’Ukraine. Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé samedi qu’il était parvenu à un accord préliminaire avec l’Ukrainequi pourrait permettre à ce pays en proie à un conflit dans sa partie orientale et à d’énormes difficultés économiques de recevoir une nouvelle aide au premier semestre. Motif supplémentaire de satisfaction pour cette ex-république soviétique, le communiqué du FMI fait mention d’un prêt de 1 milliard de dollars (0,9 milliard d’euros) et non des montants moins élevés évoqués les mois précédents. Autre bonne nouvelle pour les autorités ukrainiennes, celles-ci ne seront finalement pas obligées d’augmenter l’âge de départ à la retraite, une mesure ô combien impopulaire, en échange d’une nouvelle tranche d’aide.
Croissance chinoise abaissée. La Chine a abaissé dimanche son objectif de croissance économique pour 2017, prenant acte de l’envolée de sa dette et d’une conjoncture mondiale morose, mais le régime communiste entend se donner les moyens de stabiliser l’activité avant un remaniement politique crucial à l’automne.« On attend une croissance d’environ 6,5 %, même si nous nous efforcerons de faire mieux », a déclaré le premier ministre, Li Keqiang, devant près de 3 000 membres du Parlement chinois (ANP). Pékin révise ses ambitions, après avoir tenté d’atteindre en 2016 une croissance « entre 6,5 % et 7 % ». Le PIB de la deuxième économie mondiale avait finalement progressé de 6,7 %, sa plus mauvaise performance depuis vingt-six ans.
Fusion écossaise. Les groupes écossais Standard Life et Aberdeen AM ont confirmé le 4 mars qu’ils envisageaient un rapprochement prenant la forme d’une fusion par échange de titres. Le nouvel ensemble pèserait 660 milliards de livres (764 milliards d’euros) d’actifs gérés et administrés à fin 2016 et deviendrait le plus gros gérant britannique indépendant, loin devant Schroders.
Carrefour dans la banque sur le Web. Carrefour Banque doit lancer le 21 mars une offre bancaire sur Internet, sous la forme d’un compte courant qui sera« disponible en rayon et activable en ligne ». Détenue à 60 % par Carrefour et à 40 % par BNP Paribas Personal Finance, la société a dégagé un résultat net de 37 millions d’euros en 2015.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
619 000
C’est le nombre de visiteurs qui ont arpenté les allées du célèbre et populaire Salon de l’agriculture. La 54e édition, qui s’est achevée dimanche soir, a vu sa fréquentation légèrement augmenter en 2017 par rapport à l’année précédente, sans toutefois atteindre le record de 2014.

Dans la presse étrangère

L’investissement vert se démocratise au Canada

Panneau solaire à Windsor, Ontario, le 30 octobre 2010.
Panneau solaire à Windsor, Ontario, le 30 octobre 2010. © REBECCA COOK / REUTERS / REUTERS
Après l’émission, la semaine dernière, des premières obligations vertes du gouvernement du Québec, qui ont rapidement trouvé preneur auprès de grands investisseurs institutionnels, une plateforme d’investissement montréalaise offre depuis quelques jours ses propres obligations vertes directement accessibles à tous les particuliers québécois, une première. La preuve que, petit à petit, l’investissement responsable se démocratise, rapporte Le DevoirCoPower, une entreprise fondée en 2013, a annoncé mercredi l’émission de 20 millions de dollars d’obligations vertes d’ici à la fin de 2017, ouvertes à tous les Canadiens. Chaque tranche d’obligations permet de financer des projets d’énergie propre à travers le pays. Ce sont des projets de petite taille comme l’installation d’ampoules DEL dans des tours à condos ou de panneaux solaires sur des toits. Cela permettra de donner un coup de fouet à l’investissement d’impact, c’est-à-dire l’investissement qui vise avant tout à générer un impact mesurable sur l’environnement ou la société. Selon l’Association canadienne de l’investissement responsable, la valeur des actifs canadiens issus de l’investissement d’impact est passée de 3,8 milliards de dollars en 2012 à 9,2 milliards en 2015. Cela représente toutefois une modeste part de l’ensemble de l’investissement responsable au pays, dont la valeur a atteint 1 506 milliards de dollars en 2015. Quoi choisir ? Des obligations vertes ciblées ou provenant de grands fonds d’investissement ? Pourquoi pas les deux, répond Brenda Plant, cofondatrice d’Ethiquette, une plate-forme Web indépendante consacrée à l’investissement responsable. « Je crois que la pluralité des approches va permettre d’effectuer une réelle transition sociétale. »
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« Ces hausses sont motivées par la nécessité [d’avoir une armée] conforme à l’affirmation de puissance de la Chine, une superpuissance économique en plein essor, et un acteur politique et géopolitique qui voit son rôle se conforter sur la scène internationale »
Analyse de Barthélémy Courmont, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) à propos de la hausse du budget militaire chinois. Deuxième de la planète, à 954 milliards de yuans (132 milliards d’euros), très loin derrière celui des Etats-Unis – 604,5 milliards de dollars (575 milliards d’euros), d’après l’Institut international pour les études stratégiques (IISS) –, il augmentera encore d’« environ 7 % » en 2017, a annoncé samedi Pékin, se disant prêt à repousser « les ingérences extérieures » à l’heure où Donald Trump promet une « montée en puissance » inédite des forces américaines. Cette croissance, similaire à l’an dernier (+ 7,6 %), est l’une des plus faibles des vingt dernières années. Pékin accroît ses dépenses militaires depuis les années 1980 pour combler son retard sur les armées occidentales, l’augmentation ayant atteint presque 18 % à la fin des années 2000. L’augmentation du budget chinois « suscite des inquiétudes quant aux intentions futures de Pékin », reconnaît M. Courmont, même si la Chine n’a, selon lui, « pas de visée hégémonique sur sa région ». La Chine n’a pas combattu depuis 1979 et un bref conflit contre le Vietnam. Mais ses initiatives en mer de Chine méridionale suscitent des craintes.
L'éco & moi
Monde du travail. La santé en entreprise : quels enjeux pour les salariés ? En matière de préservation ou d’amélioration de la santé des salariés, plusieurs acteurs ont un rôle à jouer, selon une enquête Opinionway. Si c’est à l’employeur (la direction) qu’incombe le rôle principal (8/10), le salarié lui-même (7,7), la médecine du travail (7,5) et le manageur (7,3) ont aussi un rôle non négligeable à jouer en la matière. Trois quarts des salariés estiment qu’en France les employeurs ne se préoccupent pas de la santé de leurs collaborateurs, même si concrètement ils sont 43 % à estimer que leur propre employeur s’en préoccupe. Au total, l’alignement entre les attentes des salariés et l’offre des employeurs en matière de santé porte notamment sur les 3 principaux points suivants : la gestion du stress (l’offre est à consolider par les entreprises) ; l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée (offre à consolider) et enfin, l’aide psychologique en cas de difficulté (les entreprises doivent au moins maintenir leur offre). Le principal enjeu pour un employeur réside dans l’adaptation de ses services en matière de santé aux besoins de ses collaborateurs. Les enquêtes internes constituent l’un des outils permettant de capter les besoins et les optimiser en conséquence.
Etudes & documents
Combien les entreprises investissent-elles vraiment en communication ?Les entreprises françaises consacrent 46,2 milliards d’euros à la communication, soit plus qu’à la recherche et développement (R&D), selon une étude publiée mercredi prenant en compte pour la première fois un périmètre élargi à tous les aspects du numérique. Cette somme, équivalente à 2,1 % du PIB, est supérieure de moitié aux dépenses de R&D, qui sont, elles, estimées à 31,9 milliards d’euros, note l’étude réalisée par le cabinet EY pour l’Union des annonceurs (UDA) et l’Udecam, qui représente les agences médias. EY a ainsi pris en compte, au-delà des dépenses de communication traditionnellement mesurées (publicité, actions de communication commerciale ou institutionnelle, et mécénat), les dépenses dans le numérique (réseaux sociaux notamment), les dépenses de « marque employeur » ainsi que celles pour la connaissance client et la communication interne. La communication représente, selon ce périmètre élargi, 700 000 emplois directs et indirects, soit deux fois plus que le secteur de l’aéronautique et de la défense. « Il y a eu une explosion de la communication avec l’arrivée des smartphones » depuis dix ans, et cette étude est « une photographie » du montant réel des dépenses de communication, a souligné Pierre-Jean Bozo, directeur général de l’UDA à des journalistes.
Dernière chance pour le paritarisme de gestion. L’Institut Montaigne propose« un renouvellement en profondeur » du paritarisme, qu’il juge « à bout de souffle », dont une obligation de comptes à l’équilibre pour les organismes de protection sociale gérés conjointement par les syndicats et le patronat. Dans un rapport publié jeudi, l’institut de tendance libérale se focalise sur le paritarisme de« gestion », lorsque patronat et syndicats cogèrent des activités ou organismes sociaux, comme l’assurance chômage, la formation professionnelle ou les retraites complémentaires.
Selon lui, ce paritarisme, qui gère 150 milliards d’euros, traverse « une crise », notamment parce que les syndicats de salariés et organisations patronales « sont insuffisamment représentatifs », mais aussi parce qu’il y a un « émiettement significatif » des acteurs, tant côté patronal que salariés. Soulignant que « les partenaires sociaux restent légitimes à gérer la grande majorité des organismes et activités » relevant de la gestion paritaire, il estime toutefois que le partage des compétences avec l’Etat doit être « clarifié », notamment pour l’assurance chômage (Unédic) ou Action logement (logements sociaux). Il conseille également que « des aménagements significatifs soient apportés aux règles et aux conditions de fonctionnement du paritarisme ». Parmi les pistes d’amélioration figure la mise en place d’une obligation de comptes à l’équilibre pour les organismes paritaires, l’« Etat reprenant la main sinon ».
À lire sur Le Monde.fr

Les obstacles à une alliance entre Opel et PSA ont (presque) tous été levés

Le rachat des activités européennes de General Motors par le groupe automobile français devrait être officialisé lundi 6 mars.
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Election présidentielle : les candidats face au chômage de masse

L’emploi figure au premier rang des préoccupations des Français. Tour d’horizon des propositions des candidats pour réformer le marché du travail.
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Source Le Monde.fr


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