Dans la presse étrangère - jeudi 9 mars 2017 - Hallo ami
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Dans la presse étrangère - jeudi 9 mars 2017
Dans la presse étrangère - jeudi 9 mars 2017
La Hongrie resserre la vis sur l’immigration
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Des demandeurs d’asile attendent d’embarquer dans un bus qui, de Röszke, village sis à la frontière entre la Hongrie et la Serbie, doit les transporter jusqu’à un nouveau camp de migrants, le 25 juin 2015. CSABA SEGESVARI / AFP
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- La Hongrie veut garder la haute main sur son immigration. Quitte à heurter de front les hiérarques de l’Union européenne (UE). Mardi, le Parlement de Budapest a ainsi voté, par 138 voix pour, 6 contre et 22 abstentions, en faveur de la mise en détention automatique de tous les demandeurs d’asile présents dans le pays.Hungary Today
- Cette mesure, qui avait été abandonnée en 2013 sous la pression conjointe de l’UE, du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), prévoit que les requérants auront l’interdiction de quitter les « zones de transit » installées aux frontières avec la Serbie et la Croatie tant que les autorités n’auront pas statué sur leur cas. L’ONU met en garde contre le « terrible impact physique et psychologique » d’une telle initiative. BBC, The Daily Telegraph
- Actuellement, près de 7 000 personnes seraient bloquées en Serbie, dans des conditions humanitaires déplorables, dans l’attente de pouvoir entrer sur le territoire hongrois – possibilité offerte au compte-gouttes à seulement quelques personnes chaque jour.
- Plusieurs groupes issus de la société civile et des organisations de défense des droits de l’homme n’ont pas manqué de vilipender cette législation qui, selon eux, sert les « objectifs de propagande politique xénophobe et discriminatoire » du gouvernement. Le Conseil de l’Europe lui-même a fait part, mercredi, de son inquiétude, cependant que le commissaire européen chargé des migrations, Dimitris Avramopoulos, a dit souhaiter une « discussion sérieuse » avec les autorités.
- De son côté, le premier ministre conservateur, Viktor Orban, a défendu ce choix, affirmant que l’Union européenne n’était pas digne de confiance et que la crise migratoire perdurerait aussi longtemps que ses causes ne seraient pas éradiquées. A ses yeux, l’afflux de migrants n’est rien d’autre qu’un « cheval de Troie du terrorisme ». The Guardian
- Se posant régulièrement en garant de la survie du Vieux Continent, M. Orban, au pouvoir depuis mai 2010, considère les migrants, dont la plupart sont de confession musulmane, comme un péril mortel pour l’identité et la culture chrétiennes de l’Europe. The Independent
- Il joue volontiers de la fibre nationaliste, par conviction mais aussi par calcul politique pour empêcher les partisans de la Fidesz, son parti, de rejoindre l’extrême droite du Jobbik. Lequel, en vue des élections législatives de 2018, n’hésite pas à adoucir son image et son discours. Une opération de« dédiabolisation », à l’image de celle menée en France par le Front national. The Financial Times
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Inflexibilité danoise. Battre sa coulpe à propos de la colonisation ? Le Danemark ne l’envisage pas. Avant de se rendre, le 31 mars, aux îles Vierges – ancien territoire danois sis dans les Antilles et vendu il y a un siècle aux Etats-Unis –, le premier ministre, Lars Loekke Rasmussen, a annoncé qu’il ne présenterait pas d’excuses aux descendants des esclaves de cette ex-colonie. Une posture partagée par la classe politique (à l’exception de l’extrême gauche), mais pas par une majorité de la population. La Libre Belgique
(Très) jeune garde russe. S’assurer la fidélité du peuple, à commencer par celle des plus jeunes : tel semble être l’objectif de Vladimir Poutine. Ainsi, le président russe a fondé un mouvement militaro-patriotique baptisé « la Jeune Armée », qui rappelle « les Jeunes Pionniers », sous l’ère soviétique. Au programme des recrues : le maniement des armes, l’idéologie politique et l’histoire russe, « pour renouer avec la tradition ». Radio Free Europe
Athéisme philippin. Les Philippines sont l’un des pays les plus religieux au monde. Sur près de 100 millions d’habitants, plus de 80 % se disent de confession catholique. Seul 0,1 % de la population affirme n’avoir « aucune religion ». C’est à ces personnes-là que The Atlantic a choisi de s’intéresser ; des hommes et des femmes pour lesquels la science, la technologie et la justice sociale sont davantage sources de progrès qu’une quelconque divinité.
Enseignement ultranationaliste au Japon. Chaque matin, ils écoutent des hymnes militaires, affichent leur dévotion à l’empereur et promettent de faire le don de leur personne à l’Etat pour le défendre. Agés de 3 à 5 ans, les petits du jardin d’enfants de Tsukamoto sont éduqués dans le respect de l’idéologie ultranationaliste. Plus embarrassant encore, cette école aurait des liens avec le premier ministre Shinzo Abe, ce que ce dernier réfute. The Economist
Source Le Monde.fr
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