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L'ECONOMIE - Vendredi 24 février 2017

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L'ECONOMIE

Vendredi 24 février 2017

Macron : 60 milliards d’économie de dépenses publiques

Emmanuel Macron, candidat du parti En marche ! à la présidentielle.
Emmanuel Macron, candidat du parti En marche ! à la présidentielle. LAURENCE GEAI / « LE MONDE »
Dans un entretien au quotidien économique Les Echos, le candidat d’En Marche ! déclare que le « poids de la dépense publique devra être progressivement ramené vers la moyenne de la zone euro », alors qu’il était en 2015 de 57 % du PIB, contre 48,5 % en zone euro en moyenne. Il prévoit donc « une baisse de 3 points de la part des dépenses dans la richesse nationale », soit 60 milliards d’économies sur le quinquennat, un objectif en ligne avec celui que s’était fixé François Hollande en 2012. Pour les réaliser, M. Macron vise « 25 milliards d’économies sur la sphère sociale », dont 15 milliards sur l’Assurance-maladie et 10 milliards sur l’assurance-chômage, « grâce aux réformes structurelles ». M. Macron estime que le taux de chômage « peut raisonnablement atteindre 7 % en 2022 » – contre 10 % en France en 2016. L’ancien locataire de Bercy entend également réduire de 10 milliards d’euros sur cinq ans les dépenses des collectivités locales, en nouant avec elles un « pacte » et en leur donnant des « marges de manœuvre »« Aujourd’hui, quand l’Etat décide d’augmenter le salaire des fonctionnaires, les collectivités n’ont pas leur mot à dire. Ce sera à elles de décider désormais pour leurs agents. Elles pourront également recourir plus largement à des recrutements de droit privé. Je leur demande par ailleurs, comme l’a indiqué la Cour des comptes, de respecter la durée annuelle légale du temps de travail : 1 607 heures par an. Autre liberté : les communes qui le souhaitent pourront revenir sur la réforme des rythmes scolaires », développe M. Macron. Pour les 25 milliards restants, l’effort « reposera sur un mode de gouvernance totalement nouveau » de l’Etat. M. Macron veut lui permettre de « recruter hors du statut pour les fonctions d’encadrement »« donner la possibilité d’avoir plus de souplesse dans la gestion des carrières, des rémunérations plus individualisées, et des mobilités ». Il entend revenir à un seul jour de carence pour les fonctionnaires, mesure instaurée par la droite et abrogée par François Hollande en 2012.
M. Macron estime également « possible » de supprimer 120 000 postes de fonctionnaires, 70 000 venant des collectivités et 50 000 de l’Etat. « Ce n’est pas un objectif, mais un référentiel, ce sera aux ministres de faire des choix », explique M. Macron. Le gouvernement devrait se composer d’une « petite quinzaine de ministres », s’appuyant sur des cabinets très resserrés, « de l’ordre de cinq personnes », et sur une administration soumise au spoil system [“système des dépouilles”, principe selon lequel un nouveau gouvernement, devant pouvoir compter sur la loyauté partisane des fonctionnaires, substitue ceux qui sont en place par des fidèles] : « Dans les deux premiers mois du quinquennat, je changerai ou confirmerai l’intégralité des postes de direction dans la fonction publique… C’est une mise sous tension de l’appareil d’Etat. » Il promet de détailler prochainement une réforme des retraites, qui ne sera pas « guidée par une logique budgétaire mais par une logique d’équité ». M. Macron propose par ailleurs 50 milliards d’euros d’investissements publics sur le quinquennat, dont 15 milliards consacrés à la formation et 15 autres à la transition écologique et énergétique. « Autres priorités : la modernisation des administrations publiques (numérisation), l’agriculture, les transports locaux, et la santé. » Concernant la fiscalité, son objectif est d’« aboutir à une baisse nette des prélèvements obligatoires de 20 milliards » sur le quinquennat. M. Macron réaffirme également son objectif de rester « dans l’épure des 3 % de déficit avec des prévisions de croissance prudente : 1,4 % cette année, 1,8 % en 2022 ». Enfin, il a annoncé vendredi son intention d’exonérer de taxe d’habitation 80 % des « ménages modestes et de classe moyenne » qui acquittent cet impôt « injuste ». Cette mesure fiscale représenterait 10 milliards d’euros sur le prochain quinquennat, a-t-il précisé sur BFM-TV et RMC Info.
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Le mutualisme se porte bien. Le groupe CM11-CIC, composé du CIC et de 11 des 18 caisses régionales du Crédit mutuel, a dégagé un bénéfice net 2016 en hausse de 6,9 % à 2,4 milliards d’euros, soutenu par une bonne activité commerciale. Le produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d’affaires) est ainsi ressorti en progression de 3,6 %, à 13,3 milliards d’euros, selon un communiqué publié jeudi. « Ces résultats sont d’autant plus remarquables qu’ils ont été obtenus malgré des vents très fortement contraires », parmi lesquels les taux bas, une « surenchère réglementaire »« une concurrence exacerbée » et une « digitalisation [numérisation] croissante des comportements », a souligné Nicolas Théry, président du CM11-CIC, lors d’une conférence de presse.
Fillon révise le cadrage financier de son programme. L’équipe de François Fillon, malgré de nets correctifs, s’attend toujours à un déficit public supérieur à 3 % du PIB en 2017 et promet de repasser sous ce seuil en 2019, annoncent jeudi Gilles Carrez et Charles de Courson. L’exécutif socialiste défend pour sa part une prévision de déficit de 2,7 % pour l’année en cours. « Au terme du quinquennat, le niveau des dépenses publiques, qui s’élevait à 57 % du PIB en 2015, repassera sous le seuil de 50 %. Cet indicateur sera suivi tout au long de la mandature », ajoutent-ils. Selon un graphique joint au communiqué, le déficit s’établirait à 3,5 % du PIB en 2018, 2,9 % en 2019, 1,9 % en 2020, 0,9 % en 2021, 0 % en 2022.
Chômage en janvier. Après la baisse de 2016, inédite depuis la crise, Pôle emploi publie vendredi les chiffres du chômage de janvier, à l’aube d’une année électorale où la lutte contre ce fléau sera un enjeu majeur. L’indicateur a connu l’année dernière sa première baisse depuis 2007, Pôle emploi voyant 107 400 chômeurs quitter ses listes en métropole. Malgré l’embellie, le paysage n’est pas tout rose. Le nombre de chômeurs reste massif : 3,47 millions, et même 3,73 millions en comptant les outre-mers.
La Colombie, 4producteur de brut d’Amérique latine. La production moyenne de pétrole brut en Colombie s’est élevée en janvier à 860 000 barils par jour, a annoncé jeudi le ministère de l’énergie. Cela représente une baisse de 12 % par rapport au mois de janvier 2016, où 985 000 barils de pétrole étaient produits en moyenne chaque jour. La Colombie est le quatrième pays producteur de pétrole en Amérique latine, après le Venezuela, le Mexique et le Brésil. En 2016, le pays a produit 885 000 barils de brut chaque jour, à son niveau le plus bas depuis 2011.
Hôtellerie française : après une année morose, 2017 « sous le signe du rebond ». Le marché hôtelier français a souffert en 2016 après les attentats, entraîné vers le bas par les deux traditionnelles locomotives du secteur, l’Ile-de-France et la Côte d’Azur, mais 2017 montre des signes de reprise, selon une étude du cabinet In Extenso (Deloitte).
Axa dépasse 100 milliards de chiffre d’affaires. Le président d’Axa, Thomas Buberl, a annoncé ses premiers résultats annuels. Le groupe a dégagé l’an dernier un bénéfice net record de 5,83 milliards d’euros, pour un chiffre d’affaires qui a dépassé les 100 milliards d’euros pour la première fois. Côté croissance externe, Thomas Buberl estime qu’Axa a atteint sa taille critique mondiale.
Le Bitcoin accepté dans le commerce. La monnaie virtuelle Bitcoin commence à être acceptée en boutique par les commerçants. Un journaliste du Parisien Magazine en a fait l’expérience au cours d’une journée shopping à Paris : avec l’argent qu’il a fait changer à la Maison du bitcoin, il a ainsi pu acheter des chaussettes, un déjeuner ou des fleurs.
Enquête à l’encontre de Bolloré en Italie. Une enquête a été officiellement ouverte à l’encontre du patron de Vivendi, Vincent Bolloré, « pour manipulation de marché », a confirmé, vendredi 24 février, le parquet de Milan. Le tribunal avait lancé une enquête préliminaire en décembre 2016, après le rachat de près de 30 % de l’Italien Mediaset par le groupe français de médias. Cette initiative faisait suite à une plainte de la holding familiale de Silvio Berlusconi, actionnaire majoritaire de Mediaset.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
– 9 points de PIB
Appliquer le programme de Marine Le Pen en sortant de l’euro coûterait 9 points de produit intérieur brut à la France à long terme, soit environ 200 milliards d’euros, et un demi-million d’emplois, selon une étude de l’Institut Montaignepubliée mercredi. Ce chiffrage est « extrêmement fragile » mais plutôt« optimiste », souligne le think tank libéral, car il ne prend pas en compte des effets systémiques, tels que la désintégration de la zone euro ou une potentielle guerre commerciale. Dans ce même scénario médian, l’impact négatif sur l’économie française serait de 2,3 % au bout d’un an. L’Institut Montaigne, qui dit avoir utilisé le modèle macroéconomique de Bercy pour son étude, présente également un scénario « favorable » (perte de PIB de 0,6 % au bout d’un an et de 4 % à long terme) et un scénario « défavorable » (– 3,2 % au bout d’un an et – 13 % à long terme).

Dans la presse étrangère

Dynamisme québécois

Voiliers devant le château Frontenac à Québec, en juillet 2012.
Voiliers devant le château Frontenac à Québec, en juillet 2012. FRANCIS VACHON / AFP
Le PIB québécois est en voie de connaître sa plus forte croissance en cinq ans, note Le Devoir. Ce rythme devrait être maintenu en 2017 et en 2018. Pour l’ensemble des onze premiers mois de 2016, la progression de l’économie québécoise atteint 1,8 % par rapport à la période correspondante en 2015, surpassant celle de 1,1 % du PIB canadien. L’Institut de la statistique du Québec observe que la hausse en novembre vient essentiellement des gains enregistrés dans le secteur de la fabrication. Mais pour ces onze premiers mois, les industries productrices de services ont connu une croissance de 2,1 %, alors que les industries productrices de biens affichent une hausse de 1 %. D’ailleurs, dans ses prévisions provinciales, le Conference Board du Canada indique qu’après avoir dépassé les attentes en 2016, l’économie québécoise « continuera sur sa lancée avec une croissance prévue de son PIB réel de 1,9 % en moyenne en 2017-2018 ». Des revenus disponibles supérieurs pour les ménages venant de l’élimination graduelle de la contribution santé, combinés à « une forte création d’emplois », devraient se traduire par « une respectable augmentation des dépenses des ménages ». Parmi les incertitudes, le Conference Board cite les exportations et les investissements des entreprises dans le matériel et l’outillage.
+ 15 %
Les bénéfices des entreprises du CAC40 ont bondi de plus de 15 % en 2016, tirés par une industrie automobile débridée et par le redressement spectaculaire du sidérurgiste ArcelorMittal, en dépit d’une croissance proche de zéro de leur chiffre d’affaires cumulé.
Au total, les 34 sociétés de l’indice phare de la Bourse de Paris qui ont déjà publié leurs résultats annuels ont dégagé 70,6 milliards de bénéfices (résultat net part du groupe) l’an dernier, contre 60 milliards en 2015, pour une activité globale en légère progression de 0,7 %, à 1 042 milliards, selon un décompte de l’Agence France-Presse.
L'éco & moi
Mon argent. Plus pauvres qu’il y a trente ans, les locataires ont moins de chances de devenir propriétaires. C’est ce qu’affirme l’Institut national de la statistique et des études économiques, dont l’Enquête logement montre un accès à la propriété en recul en France. « L’accès à la propriété est devenu plus sélectif. Ceux qui n’y ont pas accès se trouvent de plus en plus parmi les plus modestes », lit-on dans la dernière édition de cette enquête triennale réalisée depuis quarante ans, qui a été menée de juin 2013 à juin 2014.
Car si le taux de propriétaires atteint 58 % – et même 75 % à l’âge de la retraite –, une proportion en hausse depuis trente ans dans l’Hexagone, le taux d’accès à la propriété, lui, a reculé depuis 2001, passant de 14 % à 11,4 %. En trente ans les inégalités d’accès à la propriété se sont accrues entre les différentes catégories de ménages, en particulier entre ceux que leurs parents peuvent aider et les autres, car l’aide financière de la famille est devenue fréquente. De même, le revenu, la nécessité d’avoir deux apporteurs de ressources et un emploi stable « sont devenus des conditions plus prégnantes ». Alors que le montant de l’apport personnel représente environ le tiers du montant de l’achat en 2013, contre 15 % trente ans auparavant, la probabilité de devenir propriétaire est plus élevée pour les ménages appartenant à la moitié la plus aisée de la population.
Etudes & documents
Coût de la vie dans le monde. En se basant sur l’indice des prix à la consommation dans les pays du monde, MoveHub a réalisé une infographie représentant le coût de la vie dans le monde en 2017. Quelques points phares de cette étude montrent que :
  • la Suisse fait partie des 3 pays les plus chers du monde sur les six dernières années, prenant même la première place en 2014 et 2015 ;
  • le Népal, le Pakistan et l’Inde sont les 3 pays au coût de la vie le moins élevé depuis 2012 ;
  • la France a, à peu près, maintenu la position de 20e nation la plus chère du monde entre 2012 et 2015, pour descendre à la 26place en 2016 puis la 28place en 2017.
L’économie collaborative draine 11 % de la clientèle des hébergements touristiques par Internet en France. L’Institut national de la statistique et des études économiques vient de réaliser une première estimation de l’importance des hébergements touristiques proposés par des particuliers par l’entremise des plates-formes Internet. Leur fréquentation apparaît en vive croissance en 2016 (+ 30 %). Le dynamisme est plus marqué pour la clientèle résidente (+ 36 %) et pour les logements situés en province (+ 36 %) ; le marché en Ile-de-France semble davantage arrivé à maturité. Ainsi, en 2016, 66 % des clients seraient des résidents et 80 % de la fréquentation concernerait des logements situés en province. Le développement des plates-formes Internet a enrichi l’offre d’hébergements touristiques marchands, même si une partie de l’offre des particuliers existait déjà en dehors de ces canaux. En 2016, ces réseaux draineraient environ 11 % de la fréquentation en matière de logements, dans l’ensemble comprenant l’offre des entreprises : hôtels, campings, résidences de tourisme. Leur part de marché serait de 16 % pour ce qui est des nuitées passées par les touristes. La prise en compte de ces données conduirait à revoir significativement à la hausse la fréquentation touristique en France : celle-ci aurait augmenté de 2,6 % en 2016 sur l’ensemble du champ, alors qu’elle a diminué de 1,3 % pour le seul segment de l’offre des entreprises.
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Source Le Monde.fr 


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