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L'ECONOMIE - Jeudi 23 février 2017

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L'ECONOMIE


   Jeudi 23 février 2017

Bruxelles demande des réformes à Paris, Berlin et Rome

Le Berlaymont, siège de la Commission européenne à Bruxelles, en novembre 2014.
Le Berlaymont, siège de la Commission européenne à Bruxelles, en novembre 2014.EMMANUEL DUNAND / AFP
Lors de la présentation de l’évaluation détaillée de la situation économique et sociale dans les Etats membres, la Commission européenne, tout en notant des progrès, a confirmé que la France figurait dans la catégorie des pays présentant des déséquilibres excessifs aux côtés de l’Italie, du Portugal, de la Bulgarie, de la Croatie et de Chypre. « Il y a eu des progrès mais ce sont des progrès qui sont à confirmer et il faut certainement continuer ces réformes et faire davantage », a déclaré le commissaire européen aux affaires économiques et financières, Pierre Moscovici. « Ce sera la responsabilité du prochain gouvernement (…) et nous serons très attentifs aux réformes qui seront présentées à ce moment-là », a-t-il ajouté, expliquant que si les réformes nécessaires étaient au rendez-vous, la Commission pourrait reclasser la France dans la catégorie des pays en déséquilibre, et non plus en déséquilibre excessif. La Commission estime que Paris doit, entre autres, réformer le salaire minimal et le système d’allocations de chômage, tout en améliorant son système éducatif.
A propos de l’Allemagne, première économie de l’Union européenne, Bruxelles regrette la hausse continue de l’excédent des comptes courants ces deux dernières années, un excédent qui n’est, selon Pierre Moscovici,« pas sain » et crée des distorsions « très significatives, tant politiques qu’économiques, pour la zone euro tout entière »« L’Allemagne a commencé l’année dernière à relancer l’investissement public, comme nous le demandions. Il faut faire plus », a-t-il insisté. L’exécutif européen a également averti l’Italie qu’elle pourrait faire l’objet d’une procédure disciplinaire en raison de sa dette excessive si elle ne prenait pas d’ici au 2 avril des mesures d’économies représentant au moins 0,2 % de son produit intérieur brut (PIB). Il s’agit d’un nouvel avertissement de la part de l’exécutif européen, qui a adressé le 17 janvier une lettre à Rome pour demander des mesures permettant de réduire le déficit de 3,4 milliards d’euros de plus que prévu. La dette de l’Italie pourrait atteindre 133,3 % du PIB cette année, après 132,8 % en 2016, selon les dernières projections de la Commission, alors que selon le droit communautaire, la dette est censée se réduire de 3,6 points de PIB par an. En début de mois, le gouvernement italien s’est déclaré prêt à augmenter les recettes fiscales et à réduire les dépenses publiques pour apaiser les inquiétudes des autorités européennes sur son budget 2017. Le ministre de l’économie, Pier Carlo Padoan, a assuré à Bruxelles que son pays adopterait les mesures nécessaires, sans préciser le montant de l’ajustement prévu.
Les 27 rapports par pays publiés hier (concernant chaque Etat membre, à l’exception de la Grèce, qui fait l’objet d’un programme de soutien à la stabilité spécifique) présentent l’analyse annuelle par les services de la Commission de la situation économique des Etats membres, assortie, le cas échéant, d’une évaluation des déséquilibres macroéconomiques. Valdis Dombrovskis, vice-président pour l’euro et le dialogue social, également chargé de la stabilité financière, des services financiers et de l’union des marchés des capitaux, a déclaré : « L’analyse publiée aujourd’hui montre que notre stratégie fondée sur la relance de l’investissement, la poursuite des réformes structurelles et une politique budgétaire saine porte ses fruits. C’est pourquoi, plutôt que de faire aux gens de fausses promesses qui ne peuvent être tenues, nous devons maintenir le cap et continuer à faire face aux conséquences de la crise et aux faiblesses structurelles de nos économies. Les politiques nationales et européennes doivent avoir pour objectif de renforcer la résilience de nos économies et de veiller à ce que la reprise profite à tous. »
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PSA-Opel : un géant soutenu par Paris et Berlin. PSA prévoit d’atteindre cinq millions de ventes combinées d’ici à 2022 grâce à son projet d’acquisition d’Opel-Vauxhall, qu’il compte finaliser dès le début de mars, ont déclaré hier à Reuters plusieurs sources proches du dossier. En additionnant les ventes 2016 de véhicules des deux groupes, le total atteint actuellement 4,3 millions d’unités environ. Le gouvernement soutient le projet de rachat d’Opel par PSA et « prêtera une attention particulière au devenir des sites et des emplois », a annoncé mercredi soir Bercy à l’issue d’une rencontre avec le patron de l’entreprise automobile française. Le gouvernement d’Angela Merkel, de son côté, a dit mercredi vouloir « accompagner de manière positive » les discussions en vue d’un rachat du constructeur allemand Opel par son concurrent français PSA, qui, selon la presse allemande, devrait être finalisé au début de mars.
PSA : bond du bénéfice net en 2016, premier dividende depuis 2011. Le groupe automobile a publié jeudi un bénéfice net en hausse de 79 % pour l’exercice 2016, à 2,15 milliards d’euros, améliorant sa rentabilité sur fond d’une baisse du chiffre d’affaires due à des effets de périmètre et de changes. Le groupe automobile français (marques Peugeot, Citroën et DS), actuellement en négociations pour acquérir les activités européennes de General Motors, a légèrement revu à la hausse ses objectifs financiers à moyen terme et va, au titre de 2016, distribuer cette année à ses actionnaires, parmi lesquels l’Etat français, un dividende pour la première fois depuis 2011, a-t-il précisé dans un communiqué.
Nissan : Ghosn en retrait pour mieux piloter l’alliance avec Renault. Carlos Ghosn, homme fort de Nissan depuis seize ans, a décidé de se mettre en retrait en cédant la direction exécutive, pour se concentrer davantage sur l’alliance avec Renault, qu’il ambitionne de porter au sommet de l’industrie automobile mondiale. Le Franco-Libano-Brésilien de 62 ans reste cependant président du conseil d’administration de Nissan, a annoncé le constructeur jeudi. A ce poste, « je vais continuer de superviser et guider l’entreprise », a-t-il déclaré, cité dans un communiqué du constructeur. Le passage de relais à Hiroto Saikawa, qui sera effectif le 1er avril, n’est pas vraiment une surprise. Le dirigeant japonais, présent dans le groupe depuis 1977, avait déjà été promu coprésident-directeur général à la fin d’octobre, quand Mitsubishi Motors avait rejoint l’alliance Renault-Nissan.
Lagarde en faveur d’une restructuration de la dette grecque. La directrice du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a plaidé mercredi pour une restructuration de l’énorme dette grecque (180 % du PIB) pour soulager le pays, tout en estimant qu’une réduction de son montant n’était pas nécessaire. La dette grecque « devra être restructurée de manière appropriée » et l’ampleur de cette opération « va clairement dépendre » des réformes mises en œuvre par Athènes pour réduire son déficit public, a déclaré à Berlin Mme Lagarde à la chaîne de télévision allemande ARD.
Les 30 ans de l’A320. Le best-seller d’Airbus, qui a hissé le géant européen au rang de rival de Boeing, a fêté ses 30 ans mercredi et promet encore de beaux jours à son constructeur grâce aux low cost et au marché asiatique. En 2016,« Airbus a réalisé 607 commandes nettes pour la famille A320, contre 550 Boeing pour la famille 737. En termes de dynamique, en tout cas aujourd’hui, Airbus est devant », souligne Stéphane Albernhe, managing partner (« partenaire de gestion ») pour Archery Strategy Consulting.
Orange : bénéfice net en hausse de 10,7 %, chiffre d’affaires de 1,7 %. Le groupe de télécoms Orange a annoncé jeudi un bénéfice net pour l’année 2016 en hausse de 10,7 %, à 2,93 milliards d’euros, notamment du fait de la vente de l’opérateur britannique de réseau mobile et fournisseur d’accès à Internet EE au groupe British Telecom conclue en cours d’exercice. Sur l’ensemble de l’année, le chiffre d’affaires du groupe est en progression de 1,7 %, à 40,92 milliards d’euros, grâce à de bonnes performances, en particulier dans les activités fixes haut débit en France et en Espagne.
France : prix des logements anciens en hausse de 1,8 %. Selon l’indice Notaires-Insee publié jeudi, la hausse enregistrée d’octobre à décembre, comparée à la même période de l’an dernier, est marquée par une augmentation quasi équivalente des prix des appartements (+ 1,9 %) et des maisons (+ 1,7 %), selon un communiqué. Comparée au troisième trimestre, la hausse (+ 0,7 %) est surtout due aux prix des appartements (+ 0,9 %), celle des maisons étant un peu plus modérée (+ 0,5 %), selon ces données provisoires corrigées des variations saisonnières. En Ile-de France, les prix des logements anciens ont progressé de 0,9 % par rapport au troisième trimestre, la hausse s’amplifiant encore sur un an (+ 3,1 %).
JP Morgan Cazenove recommande d’acheter des actions allemandes face à un risque d’une victoire de Le Pen. Dans une étude récente, JP Morgan Cazenove recommande d’acheter des actions allemandes pour se protéger du risque d’une victoire de Marine Le Pen à la présidentielle. « Dans ce cas, le DAX pourrait être un marché refuge relativement sûr au sein de la zone euro, comme ce fut le cas durant la crise de 2011-2012 », estime en effet le courtier américain. Même si Marine Le Pen est battue, investir dans le DAX plutôt que dans le CAC 40 pourrait être judicieux.

Micro-Macro

par Thibaut Soulcié
Dessin de Thibaut Soulcié
4,4 milliards de dollars
Les Nations unies ont besoin de cette somme (4,18 milliards d’euros) de financements d’urgence pour faire face à des situations de famine au Nigeria, en Somalie, au Soudan du Sud et au Yémen, selon le secrétaire général, Antonio Guterres. Plus de 20 millions d’hommes sont dans des situations catastrophiques dans ces quatre pays et des actions sont nécessaires rapidement pour éviter des désastres humanitaires, a souligné mercredi M. Guterres lors d’une conférence de presse au siège de l’ONU à New York. « Nous avons besoin de 4,4 milliards de dollars d’ici à fin mars pour éviter une catastrophe », a-t-il dit. Les Nations unies ont levé jusqu’à présent seulement 90 millions de dollars.

Dans la presse étrangère

Le tradeur qui transforme les handicaps en profits

Un tradeur à Wall Street, le 17 février 2016.
Un tradeur à Wall Street, le 17 février 2016. BRENDAN MCDERMID / REUTERS
Le tradeur canadien Rich Donovan a travaillé pour Merrill Lynch pendant dix ans après son diplôme à la Columbia Business School. Il a gagné de l’argent, mais avec sa paralysie cérébrale il pensait pouvoir plus que le simple gain d’argent. Sa maladie l’a aidé à identifier un marché gigantesque (8 000 milliards de dollars) et inexploité : celui des handicapés, rappelle la BBC. Après avoir arrêté son activité de tradeur, il monta la société Return on Disability Group (ROD). Elle aide les sociétés à améliorer leurs produits, leurs relations client et le recrutement pour les clients handicapés. Il estime à 1,3 milliard le nombre de personnes concernées dans le monde. C’est pour lui un marché émergent et non de niche. Il faut s’ajuster aux besoins des handicapés et les écouter, dit-il.« Les quotas et les lois favorables n’entraînent pas des recrutements de handicapés, c’est la promesse de profits qui joue », souligne-t-il. Il faut donc attaquer le marché des handicapés comme n’importe quel autre. En fonction des désirs des clients. Les handicapés ne veulent pas de produits spéciaux pour eux. Ils sont au contraire désireux d’être inclus dans l’expérience de tout consommateur, assure l’ex-tradeur. Une société agit en ce sens : c’est Google, expose-t-il, donnant l’exemple du véhicule autonome de la société de moteur de recherche. L’ambition de M. Donovan est de s’éloigner des réglementations gouvernementales et d’aider les entreprises à servir les marchés non traditionnels dans le but d’augmenter en fin de compte le profit au plus grand bénéfice de tous.
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« C’est une percée majeure. En ratifiant cet accord, les membres de l’OMC ont fait part de leur attachement au sytème du commerce multilatéral »
C’est ce qu’a déclaré le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, le Brésilien Roberto Azevedo, en conférence de presse. Un accord douanier historique, le premier depuis le lancement de l’OMC en 1995, est entré en vigueur mercredi, avec pour promesse de stimuler le commerce international en réduisant les tracasseries administratives aux frontières, et de créer au moins 20 millions d’emplois. Cet accord vise à faciliter les échanges en réduisant les formalités administratives à la frontière, via notamment la simplification des documents requis, la modernisation des procédures et l’harmonisation des prescriptions douanières. Il comporte aussi des dispositions relatives à l’assistance technique, en particulier pour les pays les moins avancés qui sont censés être les principaux bénéficiaires de cet accord. L’accord douanier appelé accord sur la facilitation des échanges (TFA) a été conclu fin 2013 à Bali (Indonésie) lors de la conférence ministérielle de l’OMC, mais au moins 110 ratifications étaient nécessaires pour qu’il entre en vigueur.
C’est désormais chose faite suite à la ratification mercredi du Rwanda, d’Oman, du Tchad et de la Jordanie. D’après l’OMC, l’accord devrait réduire de 14,3 % en moyenne les coûts des échanges commerciaux à l’échelle mondiale et ainsi rapporter jusqu’à 1 000 milliards de dollars (951 millions d’euros) par an d’exportations supplémentaires dans le monde chaque année. A l’horizon 2030, cet accord pourrait ajouter 2,7 points de pourcentage par an à la croissance mondiale des exportations, et même plus de 0,5 point de pourcentage à la croissance mondiale.
L'éco & moi
Nouvelles technologies. La robotique estonienne en pointe. Haut d’un demi-mètre, le Caddie noir et blanc avance tout seul sur un trottoir enneigé de Tallinn, la capitale estonienne, évite les passants et s’arrête, bon citoyen, au feu rouge avant de franchir un carrefour. Sur ses six roues, le robot apporte un déjeuner à un client. Il franchit la rue quand le feu piéton passe au vert, mais, comme il n’a pas de bras, il est incapable d’appuyer lui-même sur le bouton pour obtenir le passage. Les inventeurs de Starship Technologies ont appris à leurs engins à éviter les feux commandés par des boutons et les équipent maintenant avec des micros et des haut-parleurs pour qu’ils communiquent avec les passants. Une équipe d’ingénieurs de Tallinn conduite par Ahti Heinla, un programmateur estonien qui a notamment participé au développement du communicateur Skype, avait commencé par dessiner un prototype de robot ramassant des bouts de roche sur la Lune ou sur Mars, pour un concours organisé par la NASA. L’équipe n’a pas remporté ce concours, mais Heinla s’est dit que son modèle pourrait servir à livrer des plats cuisinés. Avec le Danois Janus Friis, un autre développeur de Skype, il a créé Starship Technologies à Londres en 2014. Leurs robots sont conçus et testés en Estonie, un haut lieu de la hi-tech et un pays de 1,3 million d’habitants qui figure parmi les plus connectés au monde. La vitesse maximale des robots avoisine six kilomètres à l’heure, souligne Starship. Quant au coût de fabrication et de fonctionnement, il est selon Starship beaucoup moins élevé que celui des drones testés actuellement par le géant Amazon et ses concurrents. Et la réglementation, beaucoup moins contraignante. Starship a conclu un partenariat avec la société Wolt, sise à Helsinki, qui gère les livraisons pour plus de 120 restaurants de Tallinn. Les robots « sont un bon complément pour notre dispositif »  et ils  »seront peut-être à l’avenir la meilleure option pour des livraisons de proximité« , estime Matias Nordström, patron intérimaire de Wolt en Estonie. Pour le moment, ses robots travaillent pour quatre restaurants du quartier Mustamaë, à Tallinn. Les livraisons coûtent aujourd’hui 3,5 euros, mais Starship espère descendre à un euro. Reste que remplacer les humains par les robots peut avoir un coût social important. Le professeur Peter Stone, qui a mené une étude sur l’intelligence artificielle pour l’Université de Stanford, estime que d’ici 15 ans, des véhicules autonomes et des robots assureront le transport de personnes et de marchandises, ce qui supprimera des emplois. Mais dans le même temps, dit-il, de nouveaux emplois seront créés dans le secteur des équipements dotés d’une intelligence artificielle.
Pour amoindrir l’effet de la destruction d’emplois liée à l’usage de robots, Bill Gates, le fondateur de Microsoft, vient de plaider dans une interview au site internet Quartz pour l’introduction d’une taxe sur les robots dans les entreprises. L’argent ainsi dégagé permettrait selon lui de financer des emplois ailleurs.
Etudes & documents
Le logement social face au défi de l’accès des publics modestes et défavorisés. Le logement social occupe une place déterminante en France : avec 4,8 millions de logements, le parc social représente un logement sur six et près de la moitié du parc locatif. Les aides publiques qui lui sont consacrées s’élevaient à 17,5 Md€ en 2014. Dans un contexte marqué par les fortes attentes des citoyens et par une action de l’Etat soutenue dans la durée, la cour et les chambres régionales des comptes Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, Ile-de-France et Pays de la Loire ont procédé à une évaluation de la politique publique du logement social au regard de son objectif premier fixé par la loi : l’accueil des personnes modestes et défavorisées. Les constats des juridictions financières confirment le service rendu par le logement social à la collectivité, mais révèlent aussi des points de blocage qui réduisent l’efficacité et la cohérence de cette politique publique. La Cour des comptes préconise de « mieux cibler les publics modestes et défavorisés » dans l’attribution de logements sociaux et d’inciter davantage les ménages dont les revenus dépassent les plafonds de ressources à partir, y compris en instituant des « baux à durée limitée ». Dans son rapport publié mercredi, la Cour formule 13 recommandations visant à accroître le service rendu par le logement social, à financement public constant.
Production d’acier chinois record, la qualité de l’air en souffre. Malgré ses promesses, la Chine a accru ses capacités de production d’acier l’an dernier, selon un rapport indépendant, qui fait le lien avec l’aggravation de la pollution atmosphérique dans le nord du pays. La Chine, qui assure à elle seule environ la moitié de la production d’acier de la planète, est accusée par ses principaux partenaires commerciaux de vendre ses produits à perte. En réponse, elle s’est engagée à réduire ses capacités de production
de 100 à 150 millions de tonnes par an d’ici à 2020, sur un total de plus d’un milliard de tonnes actuellement. Mais selon un rapport du cabinet Custeel et de Greenpeace Asie orientale, les capacités de production du pays se sont en fait accrues de 36,5 millions de tonnes en 2016, soit plus de deux fois la production totale d’un pays comme le Royaume-Uni.
Si Pékin a bien imposé la fermeture de certaines installations, cela a été plus que compensé par l’ouverture de nouvelles usines ou par le redémarrage de sites à l’arrêt, selon le rapport. Les quatre cinquièmes de cette augmentation sont le fait de trois provinces proches de Pékin, ce qui a entraîné des pics de pollution dans la capitale à la fin de l’année dernière et au début de cette année, affirment les auteurs du rapport. La sidérurgie est la deuxième source de pollution atmosphérique dans le pays, rappellent-ils.
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Opel-PSA : comment Carlos Tavares a présenté le futur rapprochement à ses actionnaires

Le président du directoire de PSA a présenté ce qui va devrait ressembler davantage à une alliance qu’à une fusion, Opel devant rester une marque allemande à part entière.
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L’OMC promet un bond du commerce mondial grâce à un nouvel accord douanier global

L’accord sur la facilitation des échanges, ratifié à la majorité des deux tiers des membres de l’OMC, entre en vigueur. En simplifiant les procédures douanières dans le monde, il pourrait doper les échanges mondiaux.
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Les dettes publiques italienne et portugaise inquiètent Bruxelles

La Commission européenne demande à Rome de faire plus d’efforts pour réduire son endettement public. Mais cela pourrait ne pas suffire.
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Huit grands principes pour guider l’économie mondiale

Vu d’ailleurs. L’expérience passée et les progrès de la pensée économique nous fournissent une mine d’informations sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Cette connaissance doit être au cœur d’une nouvelle approche de développement.
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